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samedi 26 avril 2014

Accident de train au Katanga : "350 morts et 161 blessés", selon des organisations de la société civile

Congo Indépendant


Dans un communiqué conjoint daté du 24 avril 2014, six organisations de la société civile regroupées au sein d’une structure dénommée "la plateforme pour la promotion et la défense des droits économiques sociaux et culturels", (DESC/RDC), se disent "très préoccupées" par "les conséquences" de l’accident du train marchandise de la SNCC (Société Nationale de Chemin de fer du Congo) survenu le mardi 22 avril au village Katongola près de Kamina. 

"Ce déraillement, note le communiqué, est survenu à la suite d’un emballement de la locomotive, excès de vitesse et conduite en état d’ivresse du machiniste".
Le gouvernement du Premier ministre Augustin Matata Ponyo est pointé du doigt. Le Comité de gestion de la SNCC en prend pour son grade. 

"Cette locomotive, poursuit ce texte, est l’une des celles acquises par le gouvernement congolais et qui avaient été réceptionnées pompeusement par le Premier ministre, Monsieur Matata Ponyo à Lubumbashi au courant de l’année 2013". 

Et d’ajouter : "Avec cet accident l’on se rend bien compte que ces locomotives n’étaient pas neuves, mais bien des vieilles qui avaient déjà été utilisées en Australie en 1962, puis en Afrique du Sud où elles étaient déclassées"

S’agissant du nombre des victimes, le groupe conteste les chiffres officiels et donne un bilan "de plus ou moins 350 personnes décédées sur place et plus ou moins 161 blessées" dont "des policiers, des militaires des FARDC, des élèves qui revenaient des vacances, des joueuses d’une équipe et des commerçants". 

Selon le communiqué, plusieurs personnes blessées ont succombé par manque d’une intervention d’urgence appropriée. Et que trois jours après cet accident, des corps sont encore dans le décombre ou coincés sous les wagons. 

Ces organisations de la société civile accusent par ailleurs l’exécutif national de tenter de minimiser cet incident en communiquant des chiffres inexacts sur le nombre des victimes autant que des fausses informations sur les circonstances du déroulement du sinistre pour décliner sa responsabilité". 
Ces organisations demandent au gouvernement central notamment "de diligenter une enquête mixte gouvernement, assemblée nationale et société civile pour élucider les causes et déterminer les responsabilités dans le déroulement de cet accident" et de "révoquer le Comité de gestion et le conseil d’administration de la SNCC pour mauvaise gestion". B.A.W

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