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jeudi 8 janvier 2015

La Prospérité : « Elections 2015 : Kamerhe exige les provinciales »

Radio Okapi 
08/01/2014

Revue de presse du jeudi 8 janvier 2015

Vital Kamerhe, président du parti
Union nationale pour le Congo
en février 2010 à Bruxelles.
 
La Prospérité s’intéresse ce jeudi aux vœux présentés au peuple congolais par le président du parti de l’opposition UNC, Vital Kamerhe. 
Dans un discours fleuve, mentionne le journal, l’opposant a pratiquement ramassé toutes les questions brûlantes de l’actualité en RDC. 
Au sujet du processus électoral, en plus du calendrier électoral global, Vital Kamerhe exige une programmation, en 2015, des élections provinciales pour que les Députés provinciaux élisent, à leur tour, les Gouverneurs et Sénateurs, note le journal. 
Les Députés provinciaux sont sans mandat, ni légitimité. 
Les Gouverneurs de province et les Sénateurs sont logés à la même enseigne, écrit le confrère. 
A ce sujet, indique le journal, Vital Kamerhe pense qu’il faudrait rapidement programmer les élections provinciales. Unique moyen, à ses yeux, de mettre fin à la crise de légitimité qui caractérise les Assemblées provinciales, le Sénat et les Exécutifs provinciaux.
La sortie médiatique de Kamerhe arrive pendant que l’Assemblée nationale et le Sénat sont en pleine session extraordinaire, fait remarquer le quotidien. 
Kamerhe voit dans le projet de loi électoral du gouvernement, une tentative pour la Majorité de manipuler la loi électorale afin d’entraîner le pays vers un glissement du calendrier. Il les invite, au passage, à faire en sorte que l’Office national pour l’identification de la population (Onip) ne plombe pas le processus électoral. 
A ce sujet, La Prospérité croit déceler une certaine évolution dans le positionnement de l’opposant à ce sujet Nulle part dans son discours, note le journal, il n’est question d’ordonner aux Députés UNC de boycotter les plénières relatives à l’examen de la loi électorale. 

Le Phare aussi s’intéresse au discours de Vital Kamerhe. Le quotidien se penche notamment sur la partie du discours dans laquelle l’opposant s’est adressé au président de la république. 
S’adressant personnellement à Joseph Kabila, écrit le confrère, Vital Kamerhe lui demande de se placer au-dessus de la mêlée en évitant de se laisser entraîner dans des rivalités de leadership au niveau de sa province d’origine. Il doit demeurer le dernier recours et l’arbitre impartial. 

La situation politique au Katanga fait la une du Potentiel
Le journal note une détente dans cette province après le discours du chef de l’Etat devant les notables du Katanga. 
Le retour mouvementé du très populaire gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, ajouté à la métaphore sur les penalties, a provoqué une onde de choc qui a secoué non seulement le Katanga mais aussi sur l’ensemble du pays, rappelle le quotidien. 
Présent à Lubumbashi pour les festivités de fin d’année, ajoute Le Potentiel, Joseph Kabila a saisi l’occasion pour calmer les esprits. 
Pour le journal, une détente s’est installée entre les parties en présence depuis le passage du chef de l’Etat dans la capitale cuprifère. L’adresse du président Kabila a eu le mérite de n’avoir pas alimenté la polémique, se félicite le confrère. 
Le Potentiel note cependant que ce calme est encore précaire. 

Forum des As, pour sa part, s’intéresse au découpage territorial prévu dans la constitution et qui n’a jamais été appliqué. La RDC doit passer de 11 à 26 provinces. 
Le journal y voit des difficultés insurmontables. Pour le confrère, ce passage de 11 provinces à 26 vient poser plus de problèmes qu’il n’en résout. 
Il y a des difficultés d’autant plus insurmontables que l’Etat congolais doit en même temps faire face aux dépenses liées au long cycle électoral. 
Comme on le sait, argumente le journal, à part le Katanga, la ville de Kinshasa et le Bas-Congo qui contribuent considérablement au budget national, les autres provinces sont presque aux abonnés absents en matière d’apport à l’assiette nationale. Certaines provinces sont mêmes sous perfusion financière de Kinshasa. 
Si les 11 ont du mal à décoller qu’en serait-il alors des districts qui deviendraient à leur tour des provinces ?, s’interroge le confrère.

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