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jeudi 15 janvier 2015

La RD Congo : un bateau surchargé et piraté – Jean-Bosco Kongolo

Desc Wondo 
14/01/2015 
Par Jean-Jacques Omanyundu Wondo

La RD Congo : un bateau surchargé et piraté Par Jean-Bosco Kongolo
Révolutionnaire pour certains et subversif pour les plus zélés, ceux qui se croient plus Congolais que d’autres, ce titre traduit parfaitement bien la situation que traverse la République dite démocratique du Congo depuis l’adoption par referendum et la mise en vigueur de la Constitution dite de la Troisième république. 
En relisant attentivement cet acte fondamental, nous en sommes arrivé à constater que par le surnombre des reformes institutionnelles prévues et difficiles, voire impossibles à réaliser, le Congo/Kinshasa ressemble à un bateau non seulement surchargé mais également piraté, donc incapable d’amener à bon port et en toute sécurité ses passagers et sa cargaison, tous pris en otage et laissés à la merci des pirates à bord, s’imposant par défi comme membres de l’équipage.

Laissant aux académiciens le langage théorique non accessible au commun des concitoyens, nous allons analyser, à l’aide des métaphores, quelques dispositions pertinentes de la Constitution pour démontrer que la Troisième République n’a jamais véritablement démarré d’une part et, d’autre part, elle ne pourra jamais apporter la paix et le développement aussi longtemps que le texte constitutionnel imposé au peuple par ruse en 2006 restera intégralement maintenu. 
Attention! Il ne s’agit pas ici de la révision de la Constitution telle que les politiciens en ont alimenté la polémique durant plusieurs mois au cours de l’année 2014 mais plutôt des choix institutionnels qui ne cadrent ni avec les réalités politico-administratives congolaises ni encore moins avec des priorités socio-économiques de la population.

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