22/02/2015
Cour suprême de justice à Kinshasa, 2006. |
Au cours d’une matinée politique organisée samedi 21 février, l’Union pour la nation congolaise (UNC) a dénoncé « l’acharnement » et « l’instrumentalisation » de la justice dans le dossier qui l’oppose à la députée nationale Wivine Moleka. Pour ce parti de l’opposition, cette affaire vise à écarter leur président des prochaines élections présidentielles.
« L’Union pour la nation congolaise s’insurge contre l’instrumentalisation de la justice à des fins des règlements de compte et promet de réserver une réponse appropriée à toute cabale ou manouvre politicienne de bas étage qui serait orchestrée dans le but de fragiliser le parti dans le but de pérenniser le règne de la pensée unique », a affirmé le président interfédéral du Bas-Congo, Tex Mavinga Sengo.
Pour Tex Mavinga, la majorité serait responsable « de toutes les conséquences dommageables qui découlerait de sa volonté de mettre en péril la paix chèrement acquise ».
« Nous continuons à croire que la justice de notre pays se lèvera au-dessus des passions et privilégiera l’équité, la paix et la cohésion sociale. En attendant, l’UNC ne se laissera pas intimider », a-t-il poursuivi.
Près de 200 sympathisants et membres de la société civile ont pris part à cette rencontre politique.
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