23/02/2015
Une vue du centre ville de Mbandaka dans la province de l'Equateur (RDC) |
Les commissaires de district, les chefs des cités et des postes d’encadrement administratif de l’Equateur devraient cesser d’exercer leurs fonctions à dater de lundi 23 février. Dans son message envoyé aux animateurs des entités déconcentrées, le gouverneur de province intérimaire, Sébastien Impeto indique que ces dispositions sont consécutives à la loi portant découpage territorial sont déjà d’application.
Ils sont maintenant placés sous la responsabilité de l’autorité provinciale pour des nouvelles fonctions, en application, du décret signé par le Premier ministre depuis 2013 relatif au découpage territorial, explique Sébastien Impeto.
Les chefs-lieux des anciens districts devenus villes sont actuellement administrés par les chefs de divisions de l’administration avant que ne soient élus les futurs maires aux prochaines élections.
Des trois villes Mbandaka, Gbadolite et Zongo que comptait l’Equateur, s’ajoutent six nouvelles : Gemena, Lisala, Mobayi-Mbongo, Boende, Basankusu et la ville dite agglomérée de Bumba à cause de sa population estimée aujourd’hui à plus d’un million d’habitants.
D’après la loi portant découpage territorial, l’actuelle Province de l’Equateur va éclater en 5 provinces : le Nord-Ubangi, le Sud-Ubangi, la Mongala, la Tshuapa et l’Equateur dont la ville de Mbandaka en fera partie.
Conformément à la réforme de la territoriale, indique l’Inspecteur principal chef de pool, Louis Adoula, les entités reconnues à la fois pour l’administration et comme circonscriptions électorales sont les provinces, les villes, les territoires, les communes, les quartiers, les secteurs, les groupements et les chefferies.
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