25/02/2015
par Christophe Boisbouvier
Alioune Tine (d), en 2010.AFP / SEYLLOU
Selon Amnesty International, les prévisions pour cette année 2015 en Afrique ne sont pas très bonnes. Dans son rapport annuel, l’ONG s'attend à « une situation sécuritaire de plus en plus grave » et à « la poursuite des violations de la liberté d'expression ».
Le Sénégalais Alioune Tine dirige le bureau régional d'Amnesty pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
« Il y a eu beaucoup de tensions et de conflits, qui sont les facteurs de violations massives des droits de l’homme et ce sont des nouvelles menaces qui font que des Etats ne sont pas bien préparés et n'ont pas donné des réponses efficaces pour défendre des populations civiles de façon globale. »
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