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vendredi 20 mars 2015

RDC : les militants du mouvement Lucha ont été libérés

Le Monde.fr avec AFP
18/03/2015

Lors d'une manifestation à Goma, en janvier 2015. 
Crédits : © Kenny Katombe / Reuters 

« Ils sont venus assiéger le siège de l'ANR [l'Agence nationale de renseignement] » qui les a « interpellés » mais après « vérification par les services » concernés, « les neuf [militants] ont été libérés », a déclaré à l'AFP Julien Paluku, gouverneur de la province du Nord-Kivu. 

Mardi matin, un groupe de militants de la Lucha a manifesté devant le siège de l'ANR pour demander la libération d'activistes africains - congolais, sénégalais et burkinabè - arrêtés dimanche à Kinshasa lors d'une rencontre sur la bonne gouvernance et la démocratie. 

L'arrestation a été musclée et les militants congolais ont pris des coups, selon le journaliste belge Alexis Bouvy, qui se trouvait près du lieu de la manifestation avec sa compatriote chercheuse, Gillian Mathys. Ces deux expatriés ont été également pris à partie par les forces de l'ordre.

Caractère pacifique 
Les militants étrangers arrêtés à Kinshasa dimanche appartiennent au mouvement sénégalais « Y'en a marre » et burkinabè « Balai citoyen ». « Y'en a marre » a été un acteur majeur du combat contre un troisième mandat du président sénégalais Abdoulaye Wade (2000-2012), et le « Balai citoyen » a été en pointe dans la « révolution » qui a chassé le président burkinabè Blaise Compaoré en octobre 2014. 

Durant la rencontre, les organisateurs ont insisté sur le caractère pacifique de leur initiative. Mais le gouvernement les accuse de s'être livrés à la « préparation d'actes de violence », les Sénégalais et Burkinabè étant venus selon lui pour « préparer des actes d'hostilité entre des groupes de Congolais ».  
Une trentaine de personnes ont été arrêtées, selon des témoins, dont une partie a depuis été relâchée, dont des journalistes et un diplomate américain. Le climat s'est fortement crispé en RDC depuis des manifestations violentes du 19 au 22 janvier qui ont fait, essentiellement dans la capitale, entre 27 et 42 morts, selon les sources. 

Les contestataires dénonçaient un projet de révision de la loi électorale qui aurait permis de prolonger le mandat du président Joseph Kabila après la fin 2016, date de la fin de son quinquennat, alors que la Constitution lui interdit de briguer un nouveau mandat. 

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