************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

mercredi 22 avril 2015

Katanga : les avocats exigent la libération de Muyambo dans « 72 heures »

Radio Okapi 
22/04/2015

Prestation de serment des avocats
stagiaires de barreau de la Gombe
le 27/09/2011 au palais de justice
à Kinshasa.
Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
 
L’Ordre des avocats du barreau de Lubumbashi au Katanga lance un ultimatum de 72 heures au Parquet général de la République pour libérer son confrère Jean-Claude Muyambo afin de se faire soigner à l’étranger. Me Jacques Shesha Bakambe, mandaté par cet Ordre l’a affirmé mercredi 22 avril à la presse. 

Le président de la Solidarité congolaise pour la démocratie, Jean-Claude Muyambo, est poursuivi pour abus de confiance dans la vente d’immeubles appartenant à l’un de ses clients à Lubumbashi. Il est détenu à la prison centrale de Makala depuis le 20 janvier dernier et hospitalisé depuis le 26 mars pour double fracture au niveau de son pied gauche. 

Pour Me Jacques Shesha, mandaté par le barreau de Lubumbashi, tous les avocats se solidarisent pour faire triompher la justice, étant donné que les poursuites dont Jean-Claude Muyambo fait l’objet relèvent de l’exercice de sa profession d’avocat. 

« Si l’avocat doit être victime d’une injustice du genre de celle que Jean-Claude Muyambo est en train de subir, l’Ordre des avocats est prêt à s’engager dans cette lutte pour que l’un de ses membres qui est victime de cette arrestation arbitraire retrouve la liberté », a affirmé Me Jacques Shesha.

Selon lui, les griefs retenus contre le président de la Scode s’inscrivent dans le cadre d’ « une affaire purement déontologique » et s’interroge : « Qu’est-ce que le pénal vient chercher là-dedans » ? 

« Vous voyez que le bâtonnier Muyambo est malade. Le droit d’être soigné est un droit fondamental. Nous disons que si le parquet n’arrive pas à lui accorder la liberté, il y aura une décision qui sera prise pour ne pas fréquenter les cours et tribunaux jusqu’à ce que justice soit faite pour le compte du bâtonnier Muyambo », a poursuivi Me Jacques Shesha. 

Le 14 avril dernier, le médecin du bâtonnier Jean-Claude Muyambo s’était inquiété de l’état de santé de son patient. Selon lui, il risque d’être amputé de son pied gauche et se retrouver infirme, s’il n’est pas évacué d’urgence vers un centre de santé approprié à l’étranger.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire