18/08/2015
"Joseph Kabila" brandit la Constitution qu’il venait de promulguer. C’était le 18 février 2006 |
Décidés à conserver le pouvoir afin de préserver les intérêts d’une caste, «Joseph Kabila» et les «durs» de sa «majorité» multiplient des artifices pour
faire «repousser» l’élection présidentielle – prévue initialement au mois de novembre 2016 – à 2019. Des voix dissidentes au sein de la «majorité présidentielle» laissent entendre que «Joseph Kabila» aurait déjà fait rédiger une «nouvelle Constitution». Celle-ci prévoit un «régime présidentiel» et l’élection du chef de l’Etat au suffrage universel indirect. Les «services» mènent actuellement une «opération charme» auprès de quelques «opposants» prêts à aller à la «soupe populaire». Les «tshisekedistes» seraient les plus courtisés.
A Kinshasa, le sénat a fini par voter, mardi 11 août, la loi comportant les annexes sur la répartition des sièges. Une semaine après la tenue de cette session extraordinaire - de trop? - de la chambre haute, des observateurs continuent à ergoter sur la célérité avec laquelle les sénateurs ont
«expédié» cette question alors que le fichier électoral continue à poser problème. A tort ou à raison, d’aucuns suspectent le bureau du sénat d’avoir subi des «pressions».
Selon des sources proches de la «majorité présidentielle», «Joseph Kabila» et les «super faucons» de son régime auraient sablé du champagne dans la soirée de ce mardi 11 août. «Après le vote intervenu au sénat, Joseph Kabila et les membres du premier cercle de son pouvoir vont maintenant sortir le grand jeu avec le concours d’une Cour constitutionnelle aux ordres».
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