09/09/2015
Denis Mukwege, chirurgien congolais qui répare les victimes
de violences sexuelles dans l'est de la RDC. © AFP
L'Onu juge que l'interdiction de projeter à Kinshasa le film "L'homme qui répare les femmes" est une atteinte à la liberté d'expression, une semaine après le refus des autorités congolaises de diffuser le long métrage sur combat du docteur Denis Mukwege.
La décision des autorités congolaises d’interdire la projection de « L’homme qui répare les femmes » passe très mal aux yeux de l’ONU, qui n’a pas hésité à le faire savoir. « L’interdiction en République démocratique du Congo (RDC) du film consacré au combat du gynécologue congolais Denis Mukwege en faveur de milliers de femmes violées est inadmissible », a déclaré Martin Kobler, chef de la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) dans un communiqué rendu public mercredi 9 septembre à Kinshasa.
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