29/09/2015
Par Habibou Bangré (contributrice Le Monde Afrique, Kinshasa)
Un jeune Pygmée se tient devant une hutte, le 17 septembre 1999,
dans la forêt équatoriale gabonaise.
Crédits : Desirey Minkoh/AFP
Génocide et crimes contre l’humanité. Les charges qui pèsent sur les vingt-trois Bantous et dix Pygmées jugés par la cour d’appel de Lubumbashi depuis la fin d’août sont lourdes. Si lourdes que l’affaire avance difficilement, faute de moyens et de préparation. Mardi 29 septembre, lors de la reprise du procès, les juges ont renvoyé l’audience au 13 octobre pour permettre aux experts de déterminer si deux des prévenus étaient bien mineurs au moment des faits qui leur sont reprochés. En outre, l’un des 11 accusés pygmées est mort de maladie, selon un avocat de la défense.
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