09/12/2015
Par Sonia Rolley
Le directeur du Bureau conjoint des
Nations Unies pour les droits de l’homme,
José Maria Aranaz (à gauche).
Photo MONUSCO/Abel Kavanagh
Retour sur le dernier rapport du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme : l’espace politique en République démocratique du Congo se serait réduit au cours des neuf premiers mois de l’année 2015. 143 violations constatées à caractère politique, plus de 20 exécutions sommaires, des centaines de détentions arbitraires. A un an des élections, le Haut-Commissariat aux droits de l’homme, comme la Monusco (Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en RD Congo), appelle les autorités congolaises comme les partenaires étrangers de la RDC à étudier les mesures préconisées par ce rapport pour pouvoir assurer la crédibilité du processus électoral. Cette évaluation du niveau de violations des droits de l’homme était une exigence du conseil de sécurité dans sa dernière résolution de mars 2015, la résolution 2211. José Maria Aranaz est le chef du Bureau conjoint aux droits de l’homme du Haut-Commissariat et de la Monusco.
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