15/12/2015
"Joseph Kabila" et le Burundais Pierre Nkurunziza.
Photo d’archives
Qui a dit que le Palais du peuple où siège le Parlement congolais était une "zone neutre", c’est-à-dire un périmètre au sein duquel toute manifestation est interdite?
Lundi 14 décembre, "Joseph Kabila" qui se sait impopulaire a fait venir des "applaudisseurs" dénués d’esprit critique pour acclamer son speech. Un speech pourtant truffé des paroles de nature à menacer la paix, la sécurité et la stabilité.
En s’exonérant de l’obligation de respecter la "neutralité" du Parlement, "Joseph Kabila" - qui se prévaut sans rire du titre de "garant de la nation" - a confirmé ce que l’on savait.
A savoir que le Congo démocratique est régi par deux législations.
L’une, accommodante, pour les "intouchables" qui gravitent autour de la fratrie "Kabila" et alliés.
L’autre, impitoyable, applicable aux représentants des forces politiques et sociales qui tentent de faire échec à la dérive dictatoriale.
"J’y suis, j’y reste", c’est le message que le locataire du Palais de la nation a signifié au peuple congolais.
A l’instar du Burundais Pierre Nkurunziza, "Joseph" paraît décidé à mettre le feu à la "maison Congo".
Cet homme ne laisse aux patriotes congolais qu’une seule alternative : la lutte armée!
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