29/03/2016
"Joseph Kabila". Photo tirée du GLM
Soixante-douze heures après l’«élection» des gouverneurs des nouvelles provinces, la «mouvance kabiliste» exulte. Et pour cause, elle a réussi – dans les conditions que l’on sait – à placer les
«hommes du raïs» à la tête de la quasi-totalité des exécutifs provinciaux. Selon des sources,
«Joseph Kabila» serait moralement «requinqué». L’appétit venant en mangeant, l’homme paraît décidé à aller vers d’autres "conquêtes". Des informations encore fragmentaires font état de la reprise des pourparlers, en France, entre la « majorité » et l’Union pour la démocratie et le progrès social d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Objectif : « la mise sur pied d’un gouvernement de transition». « Faux », rétorquent des cadres de cette formation politique.
A quelques huit mois de la fin de son second et dernier mandat, «Joseph Kabila» n’a pris contact avec aucune entreprise de «déménagement» pour préparer l’emballage de ses effets. Bien au contraire. Le locataire du Palais de la nation affiche l’assurance de celui qui attend une « tacite reconduction » de son « contrat de bail ». Un contrat qui expire pourtant le 19 décembre 2016. Cette situation incline les analystes à envisager l’avenir du Congo-Kinshasa sous la forme d’un grand point d’interrogation. Un avenir plein d’incertitudes.
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