28/06/2016
Par Olivier van Beemen
Dans l’usine Heinken de Mons-en-Baroeul (Nord-Pas-de-Calais).
CRÉDITS : PHILIPPE HUGUEN/AFP
CRÉDITS : PHILIPPE HUGUEN/AFP
Le journaliste Olivier van Beemen, auteur d’un livre sur le brasseur néerlandais Heineken et ses activités africaines, dresse le bilan controversé de quatre-vingts ans de présence au Congo.
Heineken est bon pour l’Afrique. Au royaume des Pays-Bas, les activités africaines du groupe brassicole sont considérées comme l’un des meilleurs exemples de l’efficacité du développement par le commerce, et non pas par l’aide. Du premier ministre libéral, Mark Rutte, au ministre de commerce et de coopération social-démocrate, Lilianne Ploumen, en passant par la reine Maxima, tous ont chanté les louanges des opérations africaines du fleuron de l’industrie néerlandaise.
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