30/06/2016
Par Seidik Abba (Contributeur Le Monde Afrique)
Teodorin Obiang, fils du président équato-guinéen, à Malabo, en juin 2013.
CRÉDITS : JEROME LEROY/AFP
Ce n’est pas un simple hasard de calendrier si vingt-quatre heures seulement séparent la nomination, le 31 mai, d’Abba Mahamadou Issoufou, fils du président nigérien Mahamadou Issoufou, comme conseiller principal en communication de son père, de la promotion inattendue d’Isabel dos Santos, fille du président angolais José Eduardo dos Santos, aux commandes de la Compagnie nationale des hydrocarbures (Sonangol), véritable Etat dans l’Etat. Ces deux nominations s’inscrivent, en réalité, dans une dynamique qui semble désormais s’établir sur le continent : celle de voir un président de la République appeler à son côté l’un de ses enfants.
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