05/07/2016
Propos recueillis par Cyril Bensimon
Moïse Katumbi, candidat à la présidentielle congolaise,
lors d’une précédente interview à Lubumbashi, le 2 juin 2015 à Lubumbashi.
CRÉDITS : FEDERICO SCOPPA/AFP
Moïse Katumbi préférerait mesurer sa popularité à Kinshasa ou au Katanga, la riche province de la République démocratique du Congo (RDC) qu’il a gouvernée de 2007 à 2015, plutôt que de recevoir dans un palace parisien. Repos médical ou début d’exil forcé ? Candidat à la succession de Joseph Kabila pour une élection qui ne se tiendra certainement pas à la date prévue de novembre, l’homme d’affaires passé à l’opposition vient de subir sa première condamnation par la justice congolaise le 22 juin. Trois ans de prison pour un litige immobilier qui le rendent inéligible. Il risque par ailleurs la réclusion à perpétuité suite à une inculpation pour « atteinte à la sûreté de l’Etat » dans une affaire de recrutement présumé de mercenaires. Entretien.
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