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vendredi 4 février 2011

Réplique musclée du ministre Lambert Mende aux attaques distillées dans Jeune Afrique contre le président Joseph Kabila


Le ministre de la Communication et des Médias, M. Lambert Mende, a tenu jeudi un point de presse dans lequel il a dénoncé vigoureusement ce qu’il a appelé une campagne de dénigrement menée contre le Chef de l’Etat par le truchement du magazine Jeune Afrique en accointance avec l’opposant d’aujourd’hui Vital Kamerhe bien identifié.
La vive tension provoquée par Jeune Afrique, dans sa livraison n° 2612 du 30 janvier au 5 février 2011, suscite encore une vague de protestation dans le chef de tous les cadres de la majorité au pouvoir. Cet hebdomadaire réputé progressiste en France et également distribué librement en RDC a mis les pavées dans la marre en se prêtant à une campagne diffamante gratuite sur la personnalité du Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange. En sa qualité du ministre de Communication et Medias, porte-parole du gouvernement de la majorité présidentielle, Lambert Mende Omalanga s’est résolu de remettre les pendules à l’heure à travers une république musclée adressée à Jeune Afrique.

C’était autour d’un point de presse qu’il a organisé jeudi 3 février en son cabinet ministériel devant une brochette des journalistes de la presse tant nationale qu’étrangère. Depuis cette dernière parution du Jeune Afrique, beaucoup d’eaux ne cessent de couler sous le pont. Et des voix fusent de partout pour condamner et tenter de connaître les mobiles ayant conduis à Jeune Afrique de consacrer 14 pages rien que pour vilipender un Chef de l’Etat qui ne cesse de se battre pour reconstruire son pays et qui a ouvert l’espace politique où se meuvent plus de trois centaines partis politiques, des associations de tout genre ainsi qu’une pluralisme médiatique.

En luminaire, avec des mots bien choisis et bien placés, Mende Omalanga n’a pas voulu pécher en conjecture. Il n’est pas allé sur quatre chemins pour démystifier tous les écrits repris dans toutes les colonnes de 14 pages que JA a consacré pour saborder l’image d’un icône mieux, d’une grande personnalité qui transporte sur ses épaules le fardeau d’un grand pays à dimension continentale. Sans détours, Lambert Mende répond coup sur coup à Jeune Afrique. La RDC n’est pas une République bannière.

A l’entendre, le ministre congolais de la Communication et de Medias, porte-parole du gouvernement soutient que la campagne diffamante dont le Chef de l’Etat est victime vise simplement à le casser du fait qu’il se prépare déjà à affronter les élections de novembre prochain. Sans toute fois répondre mot à mot ou paragraphe par paragraphe à toutes ces insinuations, Mende Omalanga qui est un trubin a répondu sans atermoiements à toutes les préoccupations des journalistes. Il a qualifié cette campagne de sape et leurs auteurs de « gorge profonde ».

En dépit des attaques dont le Chef de l’Etat a été l’objet, la liberté de la presse reste un acquis en RDC, déclare Mende. Il en va pour preuve, quoique ce numéro ait blessé nombre des Congolais dans leur amour propre, il n’a pas été censuré, bien au contraire, il continue à être vendu tant à Kinshasa que dans le reste des provinces. Les auteurs et inspirateurs hostiles à Kabila évoquent un pseudo « pacte tacite » avec les capitales occidentales et pour lequel le président Joseph n’aurait pas respecté et qui aurait entraîné le retrait du tapis rouge que lui déroulaient auparavant les dites capitales.

Il est dit que ce refroidissement des têtes couronnées de l’occident envers Joseph Kabila serait observé également chez ses homologues africains par ce qu’ils perçoivent comme l’arrogance à leur égard. Sans aucune élaboration autre que le fait qu’il marcherait les mains dans les poches lors de grandes rencontres internationales! On peut juger du sérieux de telles analyses, s’exclame Lambert Mende. Autour de 17 points reprenant chacun un paragraphe, Lambert Mende a répondu tour à tour aux journalistes François Soudan et Mariane Meunier.

Au point 2 par exemple, il est reproché à Kabila que d’aucuns souhaitaient voir demeurer « un gamin de 29 ans », d’avoir pris de l’étoffe et l’assurance et d’être devenu « injoignable au téléphone ». Et le ministre de répondre que même si le Chef de l’Etat refuse de décrocher un téléphone, cela n’a aucun intérêt sur les Congolais. Le vrai crime que Kabila aurait commis c’est celui d’avoir osé privilégier les intérêts nationaux de la RDC et de ne pas laisser les partenaires extérieurs gérer à leur guise les ressources du Congo, allusion faite ici aux différents contrats miniers revisités.

Du processus électoral présidentiel de 2006 Abordant le point concernant l’élection présidentielle de 2006, Mende déclare: l’histoire de l’élection présidentielle de 2006 et du fonctionnement des institutions congolaises après celle-ci telle que rendue par JA est totalement tronquée. En parcourant cette version, on remonte facilement à « gorge profonde » qui a inspiré les auteurs. La légende d’infamie servie aux lecteurs de JA est le fruit de l’ego surdimensionné de cet ancien cacique du pouvoir tombé en disgrâce.

Le règne de maraboutage est révolu en RDC Jeune Afrique regrette que Kabila ne soit pas un membre assidu du « club des chefs » et franc-maçon, qu’il ne soit pas assisté par un marabout ou soumis au diktat des réseaux qui contrôlent les pays africains à partir de l’occident, bref qu’il ne soit pas comme les autres. Et le ministre Mende d’affirmer que dans le contexte de notre pays qui a été dirigé pendant des décennies par des oligarques extravertis, des réseaux liés à des loges maçonniques et des occultistes qui ont fait la fortune des tristes célèbres marabouts, leadership patriotique, moderne, décomplexé et tout en sobriété de Joseph Kabila est perçu comme brise rafraîchissement dont le peuple congolais a le plus besoin.

Au point concernant l’isolement avancé dont parle Meunier, n’est pas le fait du président Kabila, loin s’en faut. C’est une véritable stratégie déstabilisatrice délibérée contre Joseph Kabila qui a cessé d’être ce qu’on aurait voulu qu’il fût et qu’on accuse de tous les péchés pour mieux le noyer. Mais, sans compter avec la clairvoyance de son peuple qui, après P. Lumumba en 1961 et M’zée en 2001, n’est plus dupe et sait se prendre en charge. Pour le porte-parole du gouvernement, François Soudan aurait pris en tenaille d’une part par le propriétaire de JA, M. Béchir Ben Yahmed qui semble avoir pris en grippe Kabila du simple fait qu’il ait succédé à son défunt père et d’autre part, par les devoirs de l’amitié envers « gorge profonde », cet ancien courtisan éconduit et inconsolable bien connu comme un indécrottable complexé adepte.

Joseph Kabila est tout sauf le « petit fils idéologique de Mobutu », martèle Mende, qui par ailleurs, poursuit que le seul parallélisme qui ne fait pas doute et qui transparaît dans tous ces articles est celui établi entre Kabila prétendu petit fils idéologique de Mobutu et accusé de considéré ses voisins comme de sous préfets, et P. Emery Lumumba taxé de dangereux communiste. L’opposition n’a jamais été empêchée au GHK Sur un autre chapitre, le communiqué de l’Asadho du 31 janvier dernier faisait état d’intimidation, arrestation et répression contre les membres de l’opposition politique de la part du gouvernement.

Faux, rétorque Mende car, il s’agissait bel et bien d’une coupure d’électricité qui a poussé aux responsables du GHK de ne pas recevoir les membres de l’Opposition tenir leur réunion. Qu’il s’agisse des cas d’arrestation de Diomi Ndongala à Moanda dans le Bas-Congo ou celui de la condamnation de l’honorable député Martin Munkokole, le ministre précise, chacun répond de ses actes commis. Et dans les deux cas, il s’est agit d’une flagrance avérée et qui pousse les juges à la condamnation directe après procès. Il ne faudra donc pas coller cela sur le dos du gouvernement, a conclu le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga.

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