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mardi 4 octobre 2011

La Prospérité : l’audit du fichier électoral bloqué

Radio Okapi
04/10/2011

L’une des listes des candidats aux législatives affichées sur le mur
d’un bureau de dépôt de candidatures(Ceni) à Goma, RDC.
MONUSCO/ Ph. Myriam Asmani

Revue de presse de mardi 4 octobre

La Prospérité : l’audit du fichier électoral bloqué
L’opposition y tient,la MP n’est pas intéressée par cet audit, estime La Prospérité. Selon le quotidien, la famille politique du chef de l’Etat, la Majorité Présidentielle n’a désigné personne, ne trouvant aucune nécessité à auditer le fichier électoral. Voilà qui justifie le blocage. Quant à la Ceni, renchérit le journal, son rapporteur précise qu’elle ne peut s’adonner à cet exercice qu’en présence de deux familles politiques.

Pour sa part, Le Climat Tempéré rapporte les propos du vice-président de la Ceni qu’il estime contradictoires à ceux du rapporteur de cette institution. Jacques Djoli a dit : « L’opposition a un droit légitime à accéder aux outils de la mise en œuvre du processus électoral. Nous avons demandé que nous puissions le faire ensemble avec les autres dans le cadre de concertations. Nous pouvons discuter. Il faut qu’on s’entende sur le profil du travail. Moi, je crois que l’opposition doit accéder et doit suivre l’ensemble du processus pour que nous puissions nous sécuriser mutuellement ». Ce qui fait dire au confrère que le vice-président dela Ceni se veut un avocat à la cause de l’opposition.

Concernant la sécurisation des élections, Le Phare s’inquiète du fait qu’il existe des « milices » à Kinshasa et croit savoir que ces élections sont hypothéquées. D’après le confrère, présentée jusque-là comme un havre de paix et le berceau de la démocratie congolaise, la ville de Kinshasa est en train de basculer à grandes enjambées dans les violences préélectorales. En effet, le phénomène des « milices » jusque-là particulier aux provinces du Nord, de l’Est et du Sud de la RDC a pris solidement corps dans la capitale. Le Phare accuse certains leaders des partis proches du pouvoir d’entretenir ces « milices » pour réprimer les manifestations de l’opposition.

C’est dans ce contexte que Le Climat Tempéré se pose une série de questions sans réponses dans son article intitulé : «Observatoire des violences électorales». - Y a-t-il eu jeudi dernier deux marches, l’une de l’UDPS et alliés, et l’autre du PPRD, ayant débouché sur des incidents déplorables entre les deux camps ? - Y a-t-il eu de la part dela PNC une charge injustifiée contre une manifestation pourtant autorisée ? - Y a-t-il plutôt eu une attaque de la colonne des protestataires de l’UDPS par des bandes de miliciens à la solde du PPRD ? Des questions dont les réponses accusent les uns et les autres selon que l’on donne la parole à X ou Y camp, conclut le journal.

Le Potentiel : Ceni-PPRD-UDPS, le verdict dans 48 heures
Le Potentiel indique que c’est le premier contentieux électoral dont le verdict tombe dans 48 heures. Selon le journal, trois préalables majeurs ont marqué l’audience de lundi à la cour suprême de justice. L’UDPS demande l’invalidation des listes du PPRD pour la députation nationale en application de l’article 22 de la loi électorale. Article qui, dans son deuxième alinéa, stipule : « une liste présentée par un parti politique, regroupement politique ou une candidature présentée par un indépendant est déclarée irrecevable lorsqu’ elle porte un nombre de candidatures supérieur au nombre de sièges fixé pour chaque circonscription». Or, selon toujours la requête de l’UDPS, le PPRD a aligné dans la circonscription de Lukunga 15 candidats sur les 13 sièges à pourvoir. A Kinshasa IV, 17 candidats pour 15 sièges. A Kipushi, 4 candidats pour 3 sièges. A Kisangani, 10 candidats pour 5 sièges. Comportement qui laisse croire à une complicité entre le PPRD etla CENI. Cela en violation de la loi électorale. Si pour la CENI,la Cour n’a pas qualité d’invalider les listes électorales, le PPRD, quant à lui insiste sur le fait que l’UDPS doit nommément identifier les personnes qu’elle estime supplémentaires à la liste afin d’obtenir leur invalidation.

Toujours sur ce chapitre, L’Avenir précise que cinq sortes de plaintes principalement se sont dégagées : les omissions des noms, les erreurs, les contestations de qualité, les invalidations et les dénonciations au sujet des listes contenant plusieurs candidats que le nombre de sièges à pourvoir dans certaines circonscriptions.

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