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lundi 10 septembre 2012

A la Une de la presse Afrique: la fronde de l’opposition en RDC

RFI 
07/09/2012 
Par Norbert Navarro


A son tour, l’UDPS, l’Union pour la démocratie et le progrès social, joint sa voix aux autres formations d’opposition qui, avant elle, avaient vivement protesté en prenant connaissance des révélations sur la présence militaire rwandaise à l’est du pays. Et ce matin, une partie de la presse kinoise se fait l’écho de la sortie du vieux parti membre de l’internationale socialiste. 


« L’UDPS accuse ! », lance ainsi La Prospérité. (…) Cette formation politique chère à Etienne Tshisekedi (condamne) le régime en place. L’Udps qualifie de «haute trahison», l’attitude du pouvoir qui aurait signé, avec le Rwanda (…) «des accords secrets». Ainsi, ajoute La Prospérité, ce parti qui continu à réclamer la vérité des urnes, souhaite que soient déférés devant la justice congolaise, tous les signataires desdits accords ». 

A Kinshasa toujours, L’Observateur complète. « Restée aphone depuis le déclenchement de la rébellion du M23 dans le Nord-Kivu, l’Union pour la démocratie et le progrès social a enfin décidé de joindre sa voix aux autres partis de l’opposition sur la situation sécuritaire à l’Est de la RDC. (…) Comme ces derniers, l’UDPS aussi a criée à la haute trahison de la présence sur le territoire congolais des troupes rwandaises basées dans le territoire de Rutshuru depuis 2009 et dont le retrait a été annoncé par Kigali le 31 août dernier »

Guinée : commission impossible 
En Guinée, le président de la CENI a fini par jeter l’éponge. Et Guinée Conakry Info prend acte. 
« Louncény Camara s’en va, titre le site guinéen d’informations en ligne. Finalement, le caïd a fini par craquer. (…) Comme de guerre lasse. Cette décision que Louncény Camara a voulu réserver à celui que l'opposition considère comme son mentor, le professeur Alpha Condé, surprend beaucoup, mais n'étonne guère ! ». Et Guinée Conakry Info de conclure : « Un autre jour commence. Louncény Camara vient de retirer de la bouche de l'opposition, son "amuse-gueule" préféré : la démission du président de la CENI ». 

L’opposition justement. Elle juge cette démission « insuffisante », rapporte Africaguinée. Ce site Internet relaie la réaction du collectif des partis politiques pour la finalisation de la transition et de l’alliance pour la démocratie et le progrès. Lequel collectif estime qu’il s’agit d’une « petite avancée » mais qu’elle « ne résout pas du tout les questions fondamentales en ce qui concerne le processus électoral »

« Mieux vaut tard que jamais », se réjouit le quotidien burkinabé Le Pays. (…) Si cette décision peut permettre de décrisper l’atmosphère politique, l’on ne peut que s’en féliciter. Elle constitue, par ailleurs, une occasion pour toute la classe politique guinéenne de tout remettre à plat afin de repartir sur de bonnes bases ». 

Mali : quand le capitaine fracasse 
Interrogations au Mali. Le capitaine Sanogo n’est pas d’accord le président malien par intérim qui a demandé l’intervention armée de la Cedeao pour reconquérir le nord du pays. 

Au Burkina-Faso, Le Pays se demande s’il y a « vraiment eu » concertation entre Dioncounda Traoré et le chef de l’ex-junte, le capitaine Sanogo et constate que le « désaccord persiste entre les deux hommes ». Pour le quotidien ouagalais, ce désaccord « n’est pas de bon augure (…) Pourquoi faut-il que Sanogo et consorts nous ramènent chaque fois en arrière, prolongeant ainsi les souffrances des populations ? C’est de bonne guerre que des activistes politiques se montrent hostiles à l’initiative du président Traoré. Mais une opposition à l’intervention de la CEDEAO n’est pas justifiable aujourd’hui », estime Le Pays. 

« A quoi joue le capitaine Sanogo », se demande, de son côté, Guinée Conakry Info. (…) Il y a peu, l’inquiétude était relative aux conséquences du bicéphalisme Dioncounda Traoré-Cheick Modibo Diarra. Mais avec cette sortie inopportune du chef de l’ex-junte, complète le site guinéen d’informations en ligne, on réalise qu’il s’agit d’un tricéphalisme suicidaire. Une cacophonie au sommet qui expose le Mali et quasiment le continent à toutes les velléités impérialo-islamistes et au grand péril des barbus et de leurs armes ». 

En tout cas, cette demande malienne d’intervention de la Cedeao donne des idées jusqu’en Afrique centrale. En République démocratique du Congo, le journal L’Observateur est sûr de l’issue des futures (et pourtant toujours hypothétiques) combats. « Nous devons nous attendre (…) à la libération du nord du Mali des mains de cette horde des hors-la-loi qui, au nom d’un islam médiéval, détruisent même les repères historiques de toute une civilisation qui fait la fierté de l’humanité », anticipe allègrement le journal. Et L’Observateur estime qu’à l’exemple du Mali, la RDC devrait en faire autant, elle devrait demander une intervention armée extérieure, suivant ainsi « l’exemple du Mali ».

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