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lundi 8 décembre 2014

Et si l'on s'entretenait autour d'un Bas-Congo émergent

www.Kongocentral.net/
08/12/2014

Voici l’article de la fin de l'année de l'homme de Lettres & Philosophe Veka, mon ami !


Notre article est loin d’être un plan, ou un guide, mais, juste un court exposé sur une façon de voir, de rêver de l’émergence du Bas-Congo. 

Emerger, c’est développer. N’est-ce pas ? 

Et, le développement de la province du Bas-Congo signifierait, pour nous comme pour tous, l’amélioration des conditions de vie des populations. 

Le Bas-Congo développé, c’est toutes les provinces qui en seraient influencées, avait déclaré un érudit. Pourquoi ? Parce que porte d’entrée de la civilisation, relief et ressources favorables au développement, et enfin, éternel et historique point de connexion de la RDC au monde. 
Mais regardez !


Déjà les OMD, dans ces 8 points, bien adoptés par 189 Etats avec une déclaration du millénaire subissent, cependant, des critiques acerbes quant aux résultats attendus d’ici 2015. L’on pointe plus l’absence d’engagement des pays industrialisés aux promesses faites de financement aux pays à développer. C’est pour dire que même le globe, avec ses chefs réunis, n’arrive pas à décoller vers le développement recherché. 

Et, même pour investir, les investisseurs recherchent les preuves de capacité de remboursement du crédit contracté en coopération. Combien compte le Bas-Congo pour financer son développement ? 

Les potentiels investisseurs au monde, même la Chine qui s’impose en géant en Afrique, sont plus attirés par la stabilité des Etats où la demande d’investissement est urgente. Sans commentaires 

Cependant, le Bas-Congo se trouve parmi les zones africaines aux potentialités économiques évidentes. Donc, une région à forte probabilité d’émergence 

Mais aussi, attendre des minerais et du pétrole du pays ne rassure déjà et immédiatement pas le bien-être du Bas-Congo. Les témoignages de la dernière crise mondiale ont mentionné que les minerais n’enrichissent pas dans tous les cas. 

Partant de ces observations, nous pensons que « développer » devra utiliser un langage pratique que théorique. Notons une fois que notre article ne se dresse pas comme un plan ou un programme. C’est juste une façon de voir, un rêve, une ambition en tant que philosophe, formé dans votre université, Université Kongo, ex. UniBaZ. Et, en parlant « langage pratique du développement », nous estimons ce qui suit : 

Kasangulu 
C’est la cité immobilière. 
Par 40% constitutionnel de retenue à la source ou par la coopération avec des investisseurs, l’on érigerait à Kasangulu des logements sociaux comme l’indique cette image de 2013 sur le Cabinda. 

L’on commencerait par juste 20 immeubles de 10 niveaux comptant chacun 100 appartements. Un niveau compterait 10 appartements. L’on disposerait au total de 200 logements. Si un appartement moderne vaut 200$ par mois, 200 logements produiraient 40.000$ par mois, et ainsi, 480.000$ par an. Kinshasa, même, serait de ce fait, et une fois de plus, secouru par le Bas-Congo depuis Kasangulu. Bien que bossant dans la capitale, plusieurs feraient de Kasangulu leur résidence. Un coup de maître serait la suppression du marché mal placé de Matadi Kibala. 

L’immobilier, disent les experts économistes, est un levier vers l’indépendance financière. Les investisseurs le savent. Donc, Kasangulu, cité immobilière du Bas-Congo, et de surcroit, secours de Kinshasa sur-inondé, saturé et pollué. 

Kisantu 
C’est la cité universitaire. 
L’agronomie et la médecine et sciences connexes devraient y être plus reformées, transformées, agrandies, pour finalement, se placer en géant dans la région. Ceci attirerait de partout comme ce fut le cas de l’UniBaZ qui au début avait attiré plus d’une dizaine de camerounais et angolais en médecine, pour ne citer, d’après les derniers échos, que Pascal Talla qui fait du bon travail dans quelques hôpitaux de Paris. 

Aussi, Kisantu, c’est la cité industrielle du jus. 
Si Kisantu ne compte pas une seule usine du jus, même le ciel ne le comprendra pas. 

Madimba 
C’est la cité scolaire. 
C’est ici que devrait inonder des écoliers venus aussi de Kinshasa où le trafic du matin vers les écoles est un casse-tête face aux embouteillages en bouchons, provoquant du stress et des ratés. Les écoles reformées, agrandies à Madimba partiraient de Sona Bata, Mbansa Mboma, jusqu’au plateau de la mission catholique de Kisantu, et pourquoi pas à Lemfu. 

Ntampa et Mvululu 
C’est la cité aux infrastructures sportives. 
De ces grandes plaines vertes seraient aménagés des stades et logements sportifs pour attirer de partout des équipes en préparation et internement. 

Mbanza-Ngungu 
C’est la base maraichère. La cité de l’armée, des écoles de formation militaire. Les animateurs et défenseurs de l’agrobusiness et de l’agriculture familiale installeraient leurs bureaux ici au lieu de camper dans les parcs climatisés de Kinshasa. 

Mbanza-Ngungu, dans cette approche, comprend Lufu Toto, Kolo Fuma jusqu’ à Kimpese, la capitale de l’oignon. 
Kimpese bénéficierait d’un autre système d’évacuation des produits. Des exploitants commerciaux de haut niveau qui rachèteraient et établiraient des entrepôts dans la capitale pour commercialisation des oignons de Kimpese.
Cependant, Lukala et Kimpese sont des cités de la cimenterie. Cimenteries à moderniser et à agrandir ! 
Tandis que Songololo, c’est la cité de la briqueterie cuite. Voila ! 

Kwilu-Ngongo

Ici, la canne à sucre a déjà presque tout donné. 
Une cité revalorisée, réveillée par la présence de la Compagnie Sucrière. Des belges venus de 8.000 kms traitant de la canne à sucre. 
La vie à la Sucrière n’a rien à envier à celle de Matadi, Kinshasa ou Katanga. Quel exemple ! 
La canne à sucre a amélioré des vies.  

Matadi et Boma 
http://www.kongocentral.net/ 08/12/2014
C’est des villes portuaires à re-urbaniser. Rien de villes portuaires ! Pourtant, parmi les ports les plus chers quant aux manœuvres d’embarquement et débarquement, semble-t-il ! 

Si Kinzau-Mvuete est la cité de la banane qui devra être accompagnée quant au système d’évacuation, le Bas-Fleuve est ce grenier agricole qui a besoin d’une autre politique d’évacuation et de commercialisation. Aussi, le Bas-Fleuve a besoin d’un autre réseau routier à l’interne. Le Mayumbe, c’est la cité agricole par excellence. Le palmier de type « dura », qui inonde la forêt du Mayumbe, est aujourd’hui dépassé. Il devrait également y être changé en « Tenera », une variété que la SNV, Organisation Néerlandaise de Développement, est entrain d’injecter en collaboration avec les coopératives agricoles dans une partie de la province de l’Equateur, plus précisément à Itipo dans le territoire de Bikoro. (Voyez en images). 

Luozi 
C’est la cité d’arachides et de chikwanges professionnellement fabriquées, dit-on.
L’arachide et la chikwange améliorerait ici plus d’une vie. Cependant, l’on devrait y apporter un secours réel à l’évacuation et infrastructures intérieures.


Et enfin, Moanda, pour terminer ce premier volume…
C’est la cité de la pêche industrielle.
Déjà l’entreprise Bosa Grand Pêche a montré l’exemple. Elle déversait chaque dimanche une remorque de +/-40 pieds à Matadi. Et à noter qu’une petite partie seulement de la population des quartiers Ciné Palace, Nkala Nkala et Centre ville le savait, mais, cet arrivage des poissons ne savait pas atteindre l’autre dimanche sans rupture.

Pensez au développement du Bas-congo, Kongo central ! 

A vous d’agir !

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