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vendredi 6 février 2015

La mosaïque linguistique africaine : carte des langues parlées sur le continent

Jeune Afrique 
05/02/2015 
Par Sarah El Makhzoumi et Trésor Kibangula

L'enseignement et la reconnaissance
officielle sont les clés de l'avenir
des langues africaines. AFP
L'enseignement et la reconnaissance officielle sont les clés de l'avenir des langues africaines. © AFP En décembre dernier, le Parlement sénégalais s’est doté d’un système de traduction simultanée permettant aux députés de s’exprimer dans leur langue natale. Une innovation qui répond à la volonté de promouvoir la diversité linguistique. De ce point de vue, tous les pays africains ne sont pas logés à la même enseigne. 

Le Sénégal est l’un des rares pays africains à investir pour le développement de ses langues vernaculaires (locales). Un effort pour la mise en valeur de la culture linguistique de ce pays longtemps occupé par la France, mais où près de 80% de la population parle et comprend le wolof - qui emprunte lui-même largement à l'anglais, à l’arabe et au français. Même si la langue de l'ex-colonisateur (parlé par un peu plus du quart de la population) y est toujours l'unique langue officielle, la reconnaissance du wolof est de plus en plus importante. 

La prédominance des langues coloniales sur le continent africain 
L'Afrique, compte un peu plus de 2 000 langues différentes. En dépit de cette mosaïque linguistique, la majorité des pays ont conservé pour langue officielle celle du colonisateur. Ce qui n'empêche pas d'autres langues, africaines celles-ci, d'être souvent reconnues officiellement par la Constitution d'un État même si elles ne sont presque jamais nommées. Souvent appelées "nationales", elles ne doivent - en théorie - pas être utilisées par l'administration et bénéficient la plupart du temps d'un statut juridique assez flou. 

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