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dimanche 15 mars 2015

FDLR: le Lubero, région oubliée de l'offensive de l'armée congolaise

RFI 
15/03/2015

 Les armes d'un rebelles hutu rwandais des FDLR dans la forêt autour de Pinga, 
à 150 km au nord-ouest de Goma, en février 2009. 
AFP PHOTO/ LIONEL HEALING

Les représentants de la société civile du Lubero, au Nord-Kivu dans l’est de la RDC, lancent un appel aux autorités. Ils ne veulent pas être les laissés-pour-compte de l’offensive lancée il y a plus de deux semaines contre les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et demandent donc à ce que la traque contre les rebelles hutus rwandais soit également menée sur leur territoire et en particulier dans les groupements de Tama et d'Itala, où les exactions attribuées aux rebelles hutus rwandais se multiplient. 


Le Lubero est l’un des bastions des FDLR. Une zone, où selon plusieurs sources, les rebelles règnent en maître depuis plus de quinze ans. Alors ici, à l'annonce d'une nouvelle offensive menée par l'armée congolaise, les habitants se sont réjouis. Mais, près de trois semaines plus tard, c'est la déception. L'offensive des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) n'a pas encore atteint ce territoire. 


« Cri de détresse » 
« Nous lançons un cri de détresse au gouvernement congolais pour qu’il [prenne] des mécanismes efficaces qui puissent ramener la paix et la sécurité dans le territoire du Lubero, explique Georges Muhindo, porte-parole de la société civile locale. Dans le village de Kalevia, là où les affrontements ont eu lieu récemment, la société civile a résisté. Du côté civil, cinq morts. Et les autres personnes ont été enlevées en brousse et nous ne savons pas où elles sont jusqu’à maintenant. » 
Les exactions se multiplient
Pillages, racket, assassinats et enlèvements : non seulement, les rebelles n'ont pas été chassés, mais selon la société civile les exactions se seraient même multipliées ces dernières semaines. Résultat, si l'armée n'entre pas en scène rapidement, beaucoup redoutent que cette zone de forêt, reculée, enclavée, ne soit utilisée comme base arrière pour les rebelles, leur permettant de se mettre à l'abri et de mieux se réorganiser.

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