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mardi 3 mars 2015

Les vices-Premiers ministres Boshab et Bongongo satisfaits de la situation sécuritaire et financière de l’Equateur

Digital Congo 
02/03/2015

Ces deux adjoints du Premier ministre Matata Ponyo qui ont reçu en audience tour à tour le gouverneur intérimaire de l’Equateur ont donné une note positive à l’actuelle équipe dirigeante de cette province. 

Les rumeurs folles distillées dans les villes de Kinshasa et Mbandaka, faisaient état, à un moment donné, de mégestion de la province de l’Equateur que dirige actuellement à titre intérimaire, le vice-gouverneur Sébastien Impeto. 

Les sources indépendantes et dignes de foi qui se sont confiées à la presse ont tout simplement balayé d’un revers de la main toutes ces spéculations de mauvais goût. 

Selon ces dernières, il s’agit bel et bien d’une kyrielle d’aigris, pour la plupart basés à Kinshasa qui tentent à tout prix à voir Impeto quitter le gouvernorat. Sébastien Impeto ne marche que sur les traces de son titulaire le feu Koyagialo, dont nous saluons la mémoire en passant. 

Le plan d’action du gouvernement provincial de l’Equateur conçu par les deux personnalités ne souffre aucunement d’applicabilité. Toutes les étapes qui s’y trouvent évoluent normalement.

Deux décennies durant, la province de l’Equateur était en proie à une instabilité politique chronique. Conséquence : une kyrielle de gouverneurs se sont succédé au gré des humeurs des députés provinciaux, « faiseurs des rois ». 

A l’heure qu’il est, Impeto a mis en place une gestion orthodoxe et moderne de la province. Tout récemment, le vice-Premier ministre et ministre du Budget Bongongo lui a jeté des fleurs alors qu’il recevait, pour des explications claires, nettes et transparente qu’il lui a fournies sur le plan économico-financière de cette province, contrairement à des rumeurs propagées par des jaloux. 

L’opinion est appelé à comprendre qu’un groupe d’individus se réclamant du PPRD/Equateur, Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, avait fait le déplacement de Kinshasa pour une mission des plus obscures. Selon une source qui a requis l’anonymat pour des raisons évidentes, ces militants du parti de Kabila se sont réunis dans une messe noire, avant de rejoindre la capitale congolaise. Leur mission dans la capitale consiste à rencontrer des bonzes de leur formation politique, pour voir comment renverser Impeto que la population continue d’aduler puisque voyant en lui l’ombre de Koyagialo dit « Nzombo le soir ». 

Ces aigris ont commencé leur sale besogne depuis que l’ancien gouverneur Louis-Alphonse Koyagialo était en soins médicaux en Afrique du Sud et se trouvait encore dans un état critique d’indisponibilité qui ne lui permettrait plus d’assumer ses fonctions. 

Le Tandem Koyagialo-Impeto pour le développement de l’Equateur

 
Elus gouverneur et vice-gouverneur en date du 10 juin 2013, Koyagialo et Impeto ont réussi à mettre tout le monde d’accord. D’abord, au sein de l’assemblée provinciale où ils ont prononcé un discours de très haute facture, lequel a convaincu même les plus sceptiques des élus provinciaux. 

Au cours de son allocution, Koyagialo avait fait un diagnostic sans complaisance sur l’état de la province. En interpellant plus d’un Equatorien sur la responsabilité de tout un chacun sur la descente aux enfers de l’Equateur, durant les deux dernières décennies. Il a ensuite livré à ses compatriotes sa vision pour développer la province à travers son discours-programme. Lequel demeure du reste, un tableau de bord pour l’exécutif provincial. 

Pour des esprits avisés, c’était donc un tournant décisif dans la gestion de la chose publique. Une gouvernance qui balisait le chemin pour un vrai décollage. 

L’optimisme a gagné la population qui a cru en lui. Elle lui a fait confiance. Comme Barak Obama aux Américains, « Koya » a battu le rappel des troupes et dit à ces compatriotes, « oui, nous pouvons » ! Quel engouement à cet appel ! Les prophètes de malheurs, qui avaient prédit un avenir sombre pour l’Equateur, se confondirent en excuses. 

Car, aussitôt qu’il a pris les rennes du pouvoir, il s’est jeté dans le bain. Des engins lourds ont envahi les routes caillouteuses de Mbandaka. Aussi curieux que cela peut paraître, cet élan se poursuit jusqu’à ce jour à travers Impeto. 

L’eau a commencé à jaillir des robinets, l’électricité a été réparée et la lumière succéda à l’obscurité. Mbandaka a repris vie. Tout bougeait à mille lieux. Et les Equatoriens se sont mis au travail. Ils ne juraient plus que par Sebastien Impeto . Les rues et les grandes artères sont très bien entretenues. Les herbes folles ont été coupées. La machine administrative de la province marche correctement. La voirie de Mbandaka très appréciée ces jours-ci. 

Les décisions prises au niveau de la hiérarchie à partir de Kinshasa sont convenables appliquées par le gouverneur intérimaire de l’Equateur. Ce qui ne cesse de réjouir le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, Evariste Boshab qui a accordé son soutien à Impeto. Les hors-la-loi neutralisés par la police provinciale.

Célestin L./MMC - Okapi

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