************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

mercredi 18 mars 2015

RDC: un militant des droits de l'Homme refuse d'être jugé sans la presse

RTBF.be
18/03/2015

RDC: un militant des droits de l'Homme
refuse d'être jugé sans la presse -
© Tous droits réservés
Le militant congolais des droits de l'Homme Christopher Ngoy, l'un des fers de lance des manifestations de janvier en République démocratique du Congo, a refusé de comparaître en l'absence de la presse, a annoncé mercredi son avocat.  

Les responsables de la prison de Makala, la grande prison de Kinshasa qui abrite le procès, avaient signifié aux journalistes qu'ils ne pouvaient couvrir l'audience "sans une autorisation écrite" des juges, selon la décision du tribunal chargé de l'affaire. 

Devant le refus du tribunal de laisser la presse couvrir la première audience de son procès, "Christopher Ngoy a interjeté appel devant la cour d'appel qui devra statuer pour savoir si oui ou non la presse peut couvrir ce procès", a déclaré à la presse Me Joseph Mukendi. 

Me Mukendi s'est dit "étonné" de la décision du tribunal, "qui est une première". "Les infractions mises à sa charge ont été publiées devant la presse, et il n'est pas normal que maintenant le procès se déroule en catimini", a-t-il dit.

Arrêté le 21 janvier, Christopher Ngoy -président de l'ONG "Synergie Congo Culture et Développement" et coordonnateur de la plateforme "Société civile de la République Démocratique du Congo" (une fédération d'ONG)- avait été l'un des principaux fers de lance des manifestations qui se sont déroulées du 19 au 22 janvier à Kinshasa et dans d'autres villes du pays à la suite de l'examen d'un projet de révision de la loi électorale au Parlement.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire