23/06/2015
Éléphant de Tanzanie | Mark Robinson, via Flickr CC licence by
Des chercheurs ont analysé entre 1996 et 2014, l'ADN de stocks d'ivoire exportés illégalement pour connaître l'origine des éléphants tués.
Le commerce illégal d'ivoire était le quatrième traffic criminel le plus important au monde en 2014, selon la revue Science. Mais si le braconnage est en constante augmentation ces dernières années en Afrique, le nombre exact d'éléphants tués - l'animal le plus recherché par les braconneurs pour son ivoire - n'est pas toujours connu avec précision dans certains pays où les rangers sont trop peu nombreux pour surveiller des parcs nationaux immenses, comme en République démocratique du Congo ou en Mozambique.
Pour remédier à ce flou dramatique, sept chercheurs de l'Université de Washington et d'Interpol ont mené des prélèvements d'ADN sur 1.350 échantillons d'ivoire récoltés dans 29 pays africains et issus d'animaux tués illégalement entre 1996 et 2014.
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