22/06/2015
Accueil des visiteurs le 11 octobre 2012
à la Société Nationale des Bois du Gabon (SNBG) à Owendo,
le port de Libreville AFP/Ar
La forte demande a fait exploser l'exploitation illégale, notamment vers la Chine.
"On ne doit pas vendre ce bois. Il garde la forêt. Les esprits de la forêt poursuivront ceux qui le vendent!", met en garde Daniel Messa-Abaga.
Assis sur le porche de sa maison de Bendoussang, dans le nord du Gabon, le vieil homme se désole. Le Kevazingo est précieux et fait l'objet d'un vaste trafic.
Le vieux villageois, né en 1930, ne comprend pas pourquoi les siens vendent ce bois aux scieries et collecteurs. "La génération qui viendra après nous aura du mal à comprendre que ce bois est important parce qu'il aura peut-être disparu. Il faut le préserver", dit-il.
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