10/07/2015
Une lettre ouverte du Pakar, un parti politique katangais, alerte les notables de la riche province minière de la « mort programmée » de la Gécamines, un des fleurons de l’industrie congolaise. En cause : la mégestion de l’équipe dirigeante.
Gécamines 10
« Rien ne va plus à la Gécamines » dénoncent les Patriotes katangais aile radicale (Pakar) dans trois lettres envoyées en mars, avril et mai 2015 à des personnalités de Lubumbashi, la capitale du cuivre. Presque un an après le limogeage de son directeur général, le géant minier semble toujours naviguer toujours à vue, entre opacité et corruption. Après le renvoi du directeur de la Gécamines, Ahmed Kalej Nkand, pour des motifs essentiellement politiques - voir notre article, Albert Yuma, le tout puissant président de la société minière, avait annoncé un ambitieux programme de production sur 16 mois. Un plan de développement qui semble toujours au point mort, selon le Pakar.
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