************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

samedi 5 septembre 2015

RDC : la colère de Denis Mukwege

Afrikarabia 
04/09/2015

Très remonté contre l’interdiction du film qui lui est consacré, le célèbre gynécologue congolais dénonce violemment la « censure » dont est victime le documentaire « L'Homme qui répare les femmes ». Plus politique, il fustige également « le climat d’oppression » qui règne en RDC.  

Le très beau documentaire de Thierry Michel et Colette Braeckman « L'Homme qui répare les femmes » ne pourra pas être projeté en République démocratique du Congo (RDC). Ce film consacré au combat du très charismatique docteur Denis Mukwege en faveur des victimes de viols a en effet été interdit de diffusion par les autorités congolaises. Le gouvernement de Kinshasa affirme que le film « véhicule des accusations infondées contre les Forces armées congolaises (FARDC) ». Le Ministre de la Communication et des Médias, Lambert Mende, explique que contrairement à ce qui est montré dans le film « des déclarations de femmes victimes de sévices sexuels enregistrées par les réalisateurs, ont reconnus avoir été sauvés par les mêmes FARDC ». Si Lambert Mende « soutient les interventions salutaires du docteur Denis Mukwege en faveur des victimes » il ne peut tolérer « que cette sensibilisation ne devienne un outil de désinformation ». Ce qui dérange en fait Kinshasa, c’est la relative impunité dont bénéficie les auteurs de viols : groupes armés et armée régulière confondus… ce montre très bien le film de Thierry Michel et Colette Braeckman.

Lire la suite sur Afrikarabia

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire