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samedi 19 décembre 2015

Forum des As: «Z’ahidi, Ruberwa, Muanda Nsemi, Bitakwira, Mushi Bonane, Mbikayi … créent un front»

Radio Okapi 
18/12/2015

Revue de presse du vendredi 18 décembre 2015

Arthur Zahidi Ngoma, 
ancien vice-président de la République démocratique du Congo 
de 2003 à 2006.  

Les journaux parus vendredi 18 décembre à Kinshasa commentent notamment l’élargissement du front de l’opposition pro-dialogue national. 

Forum des As rapporte à la Une: «Z’ahidi, Ruberwa, Muanda Nsemi, Bitakwira, Mushi Bonane, Mbikayi,… créent un front» 
Pour soutenir le dialogue national, note le journal, la plateforme initiée par cinq membres de l’opposition du centre, s’élargit avec l’adhésion d’une cinquantaine d’autres partis politiques de l’opposition, dont Bundu Dia Mayala du député national Ne Muanda Nsemi. 
Au cours d’une conférence de presse jeudi 17 décembre à Kinshasa, Azarias Ruberwa a indiqué que la Constitution de la RDC ne s’opposait pas au dialogue et qu’aucune disposition n’interdisait cet exercice. 

La Prospérité revient sur le processus électoral et titre : « Trop de préalables : RDC, la Ceni dans un faux rythme !» La RDC n’a plus de calendrier électoral depuis le 8 septembre dernier, date de la publication d’un arrêt de la Cour constitutionnelle conditionnant tout nouveau cycle électoral à l’élection des gouverneurs intermédiaires à la tête de 21 nouvelles provinces.
Et la Commission électorale indépendante (Ceni) ne voit pas par quel bout sortir du tunnel, constate le journal. 
Le nouveau président de la Ceni, Corneille Nangaa, a animé une conférence de presse à l’issue de laquelle, les analystes politiques n’ont pas eu grand-chose à se mettre sous la dent, note le quotidien. 
Il est revenu sur ce que les Congolais savaient déjà, avançant les raisons qui empêchent la Ceni d’élaborer ou de publier un calendrier électoral réaménagé : manque des ressources financières. 
Et cette institution n’a aucune proposition pour évacuer ce qu’elle présente comme préalables, écrit le journal. 

Sur un autre chapitre, L’Avenir annonce: «Aubin Minaku, droit dans ses bottes». 
Le journal souligne que, dans le contexte de l’indignation générale suite à la révélation par les médias congolais d’un séminaire subversif organisé à Dakar par «une bande des terroristes qui s’est cachée sous un label international respectueux», certaines voix se lèvent pour faire grief à Aubin Minaku d’avoir délivré des autorisations de sortie à quelques députés de l’opposition pour se rendre au Sénégal. 
L’Avenir indique qu’Aubin Minaku n’a aucun pouvoir d’empêcher la Majorité de s’imposer en tant que telle, mais pour que celle-ci n’écrase pas l’Opposition, il revient au président de l’Assemblée nationale de lui garantir la jouissance de tous ses droits. 
Pour que l’institution qu’il préside soit exemplaire, le président de la chambre basse du parlement agit, depuis son élection, avec impartialité et équité et ce qui lui vaut d’être accusé de complaisance à l’endroit de l’Opposition par ses collègues de la Majorité, soutient le confrère. 

«Complot contre la RDC: Dakar commence à livrer ses secrets», titre pour sa part Le Phare
La conférence sur « démocratie et les processus électoraux en Afrique subsaharienne» organisée du 11 au 14 décembre à Dakar par la fondation allemande « Konrad Adenauer Stiftung», continue de faire couler encre et salive. Car le pouvoir de Kinshasa a vite crié à un complot contre la République démocratique du Congo, avec la bénédiction du Sénégal, assis sur des stratégies planifiées de renversement de ses institutions. 
Le président de l’Assemblée nationale a emboîté le pas au gouvernement en menaçant de mettre en place une commission d’enquête chargée d’approfondir le dossier et de proposer des sanctions contre les députés ayant effectué le déplacement de Dakar. 
A ce sujet, le journal publie in extenso l’invitation lancée aux Congolais par les organisateurs, le calendrier des travaux et même le rapport final du séminaire.

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