27/04/2016
Par Laurence Caramel (envoyée spéciale à New York)
Deux Baka utilisent un GPS pour positionner sur une carte
leurs zones de chasse et leurs lieux sacrés dans les forêts
du nord de la République du Congo.
Qui n’a pas entendu parler des Kayapo d’Amazonie dont le chef Raoni plaide pour les droits de son peuple partout à travers le monde ? Qui ne sait pas que derrière les pots de Nutella, ce ne sont pas seulement les orangs-outans mais d’autres peuples des forêts qui ont été chassés de leurs terres pour faire de la place aux plantations d’huile de palme ? Le sort des populations des forêts denses du bassin du Congo ne reçoit pas la même publicité.
Est-ce parce que des décennies de conflits et de sous-investissement ont jusqu’à présent tenu cette région plus à l’écart des investissements à grande échelle dans les secteurs de l’exploitation forestière ou de l’agro business ? Pourtant, le rôle des populations autochtones dans la préservation des forêts tropicales est partout d’égale importance.
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