30/05/2016
La crise politique et la forte répression sur les opposants au président Joseph Kabila inquiètent les principaux bailleurs internationaux de la RDC qui envisagent de sanctionner certains hauts responsables… mais sous condition.
Des sanctions internationales peuvent-elles faire plier les autorités congolaises enfermées dans une impasse électorale profonde et le harcèlement des opposants politiques ? Alors que la République démocratique du Congo (RDC) s’enfonce dans l’instabilité et le risque d’embrasement, la communauté internationale se mobilise pour accentuer sa pression sur Kinshasa. Les bailleurs du Congo s’inquiètent du probable report de l’élection présidentielle de novembre 2016 qui permettrait au président Joseph Kabila de se maintenir au pouvoir au-delà de son deuxième et dernier mandat. La Cour constitutionnelle a déjà validé ce scénario en autorisant le chef de l’Etat à rester à son poste jusqu’à la tenue du scrutin. La communauté internationale commence donc à agiter le chiffon rouge des sanctions ciblées.
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