12/05/2016
Par Françoise Alexander
Le chanteur congolais Papa Wemba,
l’un des papes de la sape, lors de son ultime concert
à Abidjan (Côte d’Ivoire), le 24 avril 2016. Crédits : STR/AFP
Chapeau melon haut-de-forme rouge rehaussé d’un large ruban, ample tunique blanche brodée de noir. Pour ce qui allait être son dernier concert, Papa Wemba n’avait pas dérogé à la règle qu’il s’était fixée : être élégant. Mort sur la scène du Festival des musiques urbaines d’Anoumaba, à Abidjan (Côte d’Ivoire), à l’aube du 24 avril, le ténor de la rumba congolaise restera dans les mémoires comme l’un des grands musiciens de son époque. Mais aussi comme l’un des promoteurs de la Société des ambianceurs et des personnes élégantes (SAPE), mouvement qui célèbre la coquetterie et le style.
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