24/08/2016
Par Pierre Micheletti
Le 31 juillet, à Mogadiscio, en Somalie, après une attaque suicide qui tué six personnes.
MOHAMED ABDIWAHAB / AFP
Par Pierre Micheletti, vice-président d’Action contre la faim
Interdiction d’accès à Alep, bombardement de structures hospitalières au Yémen et en Afghanistan, kidnapping à répétition de personnels en Somalie, évacuations récurrentes des équipes en République centrafricaine… Tout porte à croire que, sur quelques-uns des terrains de crises contemporaines majeures, les belligérants ne respectent plus les règles du droit international humanitaire (DIH).
Si la prévalence des victimes, parmi les acteurs humanitaires, a doublé en dix ans (1997-2008), on constate que c’est parce qu’elle est « tirée vers le haut » par un groupe de pays particulièrement exposés : Soudan, Afghanistan, Somalie, Sri Lanka, Tchad, pour la période mentionnée.
La suite sur Le Monde
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire