23/08/2016
Par Hamidou Anne (chroniqueur Le Monde Afrique)
Le mouvement citoyen sénégalais Y’en a marre à Dakar, en 2011.
CRÉDITS : REUTERS
Dans plusieurs pays africains, l’opposition institutionnelle est soit muselée, soit discréditée, soit encore dépassée à force de ne jamais renouveler son personnel ni ses idées. Or une nouvelle « opposition » émerge, née de cette absence d’alternative politique crédible face à des régimes qui se sclérosent. Voilà ce que Y’en a marre (Sénégal), Balai citoyen (ou Cibal, Burkina Faso), Filimbi ou la Lucha (Congo-Kinshasa) représentent pour l’Afrique actuelle.
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