06/08/2016
par Christophe RIGAUD
Des experts internationaux dénoncent la responsabilité des autorités congolaises dans le glissement du calendrier électoral et le très probable report de la présidentielle de novembre 2016. Une crise politique qui risque de plonger le pays dans l’instabilité et la violence.
Presidential and legislative elections in DRC, Walikale 28 november 2011.
© MONUSCO/Sylvain Liechti
« Le gouvernement est responsable de nombreux retards artificiels dans le processus électoral » estime le Groupe d’étude sur le Congo (GEC), un centre de recherche de l’Université de New York. Des obstacles à la tenue des élections volontairement entretenus par le camp présidentiel afin de maintenir Joseph Kabila au pouvoir au-delà de la fin de son dernier mandat qui s’achève en décembre 2016.
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