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vendredi 29 avril 2011

L’ébullition actuelle en Afrique : « est-ce un phénomène ou un problème de fond » ?

29/04/2011
Le Potentiel

1. L’humanité a toujours connu de grands bouleversements qui ont fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui et quels que soient les résultats escomptés, la loi de l’évolution suit son cours éternel vers la perfection. C’est ainsi que nous devons voir la perfection même dans le mal et dans les situations les plus difficiles. Situations qui nous permettent de nous améliorer, nous purifier, et enfin, de nous parfaire.

2. Depuis longtemps et sans grand succès, les êtres humains essaient de résoudre les problèmes au niveau du « FAIRE ». C’est que nous n’avons pas compris que le changement véritable est toujours accompli au niveau de l’«ETRE », et non du « FAIRE », l’idée selon laquelle la terre existe pour l’exploitation des espèces dominantes en est un bon exemple. Il est clair que nous ne changerons pas ce que nous faisons à ce sujet, à moins de transformer notre façon d’être. Nous devons modifier notre conception de qui nous sommes en relation avec notre environnement et de tout ce qui y habite avant d’agir différemment. C’est une question de conscience. Et avant de pouvoir transformer la conscience nous devons l’élever.

3. Les peuples opprimés doivent cesser d’être silencieux devant tout cela ; élevons la voix. Faisons du grabuge, soulevons les problèmes. Nous pourrons même éveiller une certaine conscience

L’idée de l’ANGLO-SAXON basée sur le profit « la doctrine mercantiliste » l’argent rien que l’argent et la notion de gagner et de perdre. Où le prix monte lorsqu’une chose est rare. Ces principes directeurs dans notre culture sous-tendent nos comportements. Ils sont à la base de tout ce que notre société a créé. Son économie, sa politique, ses religions, son éducation, ses structures sociales et sa culture.

4. BECHIR BEN YAHMED écrit, qu’il faut le rappeler : personne, absolument personne, n’a prévu que l’année 2011 et la décennie qu’elle inaugure commenceraient en fanfare par deux révolutions quasi simultanées, qui plus est belles, pacifiques et réussies. Encore moins qu’elles auraient pour théâtre deux pays arabo-africains à l’histoire millénaire.

5. Les dirigeants politiques de stature internationale ont été, eux, à la traîne, à l’exception notable de Barack Obama qui a su lui convaincre son administration d’accompagner le mouvement et même de l’encourager, allant jusqu’à pousser Hosni Moubarak vers l’hélicoptère de sortie.

Les hommes et les femmes à la tête de grands pays, Français en tête, ont brillé par leur absence : des phrases convenues et prudentes après coup, montrant à qui sait entendre qu’ils ou elles se résignaient à prendre le train en marche. La Chine, la Russie et même l’Afrique du Sud, le Brésil et l’Inde sont demeurés étrangement silencieux.

L’inébranlable et pathétique Berlusconi est resté fidèle jusqu’au bout à « son ami » Hosni Moubarak, rejoignant en cela son ami autre Mouammar Kadhafi.

6. Rois ou présidents, ils se montrent très inquiets, même ceux dont les peuples ne donnent pour le moment aucun signe d’agitation. Il est difficile pour qui n’est pas à leur place d’imaginer à quel point ils ont été secoués, les vendredis 14 janvier et 11 février, par ce qui est arrivé à Zine El-Abidine Ben Ali et à Hosni Moubarak : leur chute coup à coup a eu sur leurs homologues l’effet d’un séisme.

7. Mais pour les hommes avisés, ils demeurent moins surpris par tout ce qui en train d’arriver en Afrique et dans le monde. Nous devons tous nous rappeler la sagesse du célèbre président des Etats-Unis d’Amérique Abraham Lincoln qui disait ceci, « Qu’on peut tromper une partie du peuple pendant une partie du temps mais pas tout le peuple tout le temps ». Depuis le début de cette année, nous assistons à une nouvelle libération, celle d’une autre série de peuples. Ils sont, cette fois, Arabo-musulmans et ont pour caractéristique d’être tous… membres de la Ligue des Etats arabes. Et pourquoi pas demain cela n’arrivera pas, à nos dictateurs de l’Afrique subsaharienne face à une communauté et une justice internationales qui ont acquis un point moral et un pouvoir de dissuasion dont il faut tenir compte.

8. Nous vivons une époque où la dignité humaine très longtemps bafouée doit être restaurée, car le besoin de bien-être social est devenu universel et chaque peuple aspire à cela. Et les énergies de l’ère du verseau soutiennent et favorisent la réalisation de ces aspirations communes.

9. Nous devons savoir que quand quelqu’un perd, tout le monde perd. Lorsqu’un autre est dans le besoin, nous n’imaginerons jamais garder ou accumuler des choses uniquement à cause de leur rareté au contraire, ce serait pour nous la raison même de les partager. Nous devons radicalement changer notre perception du profit à l’anglo-saxon.

LE PRINCIPE DU PLUS FORT

10. Les êtres hautement évolués (dans l’univers) sont également enrichis en partageant des choses rares. Ils se sentent enrichis lorsqu’ils partagent tout librement, sans ressentir le besoin d’en tirer « profit ». En effet, c’est le sentiment qui constitue le profit. Plusieurs principes directeurs dans notre culture sous-tendent nos comportements. L’un des plus fondamentaux est la survie du plus fort.

On pourrait dire que c’est là notre second principe directeur. Il est à la base de tout ce que notre société a créé. Son économie, sa politique, ses religions, son éducation, ses structures sociales, mais aux yeux d’un être hautement évolué, ce principe même est un oxymore (malin stupide).

Il se contredit lui-même. Puisque le premier principe directeur d’un être évolué est nous ne faisons tout qu’Un, le « Un » n’est pas « Fort » à moins que le « Tout » ne soit «Fort ». La survie du «Plus fort » est donc impossible ou la seule chose qui soit possible (c’est donc une contradiction). Puisque le «Plus fort» n’est pas « Fort » à moins que la survie ne soit impossible.

11. Nous nous rapprochons dangereusement du moment où nous ne pourrons pas faire l’expérience de « La vie telle que nous la connaissons ». Précisément, parce que nous aurons insisté pour subordonner les besoins de la plupart des espèces aux désirs d’une seule. Sur notre planète, nous avons rejeté du revers de la main tout système qui ne permet pas l’avancement d’un être aux dépens d’un autre.

12. Nous devons plutôt prendre soin des choses, mais pas les posséder. Auparavant, dans notre histoire, les humains avaient impression d’avoir le droit de posséder personnellement tout. Ce sur quoi ils posaient les mains, cela comprenait femmes et enfants, le territoire et ses richesses. Les « Choses », et toutes les autres « choses » que nos « choses ».

13. Dans notre culture humaine, nous permettons aux « compagnies », comme nous disons, de piller le sol pour obtenir un profit, car il serait certain que la qualité de vie des propriétaires et des employés de cette compagnie subirait un tort irrévocable?

Car, le niveau d’évolution d’une culture se mesure par sa façon de juger qu’un être ou un geste est « honteux » ou « coupable ». « La cupidité qui a causé la dernière crise financière en est l’exemple ».

UN GOUVERNEMENT EQUITABLE

14. Si un système gouvernemental, ou l’économie, exige une tentative de distribution équitable, à « tous », des bénéfices crées par « tous », avec les ressources appartenant à « tous », nous disons que ce système gouvernemental viole l’ordre naturel. Mais dans les cultures hautement évoluées, l’ordre naturel est le partage équitable. Entre-temps, les pays riches et puissants contrôlent sans scrupule les ¾ des ressources de la planète. « un égoïsme basé sur une simple cruauté ».

Le bien commun est la vie. Si nous sommes en vue, nous contribuons au bien commun. Il est très difficile pour un esprit d’être dans la forme physique. Accepter de prendre une telle forme équivaut, en un sens, à un grand sacrifice. Mais un sacrifice nécessaire, et même apprécié, si le tout doit se connaître de façon expérientielle et se recréer à nouveau dans la prochaine version la plus grandiose de la plus grande vision qu’il n’ait jamais entretenue à propos de qui il est. Il est important de comprendre ce que nous sommes venus faire ici-bas.

15. Comme dans une société hautement évoluée, nous devrions vivre en grappes, ou ce que nous appellerions de petites communautés volontaires. Ces grappes ne sont pas davantage organisées en ville, en Etats ou en nations, mais interagissent avec les autres sur une base égalitaire.

16. Il n’y a aucun gouvernement au sens où nous l’entendons, ni aucune loi. On y trouve des concils, ou conclaves, habituellement constitués d’aînés « Des hommes intègres avec une longue expérience de la vie. Des hommes sages qui incarnent l’amour divin ». et il y a ce qu’on pourrait appeler, faute de mieux, dans notre langage, des « Accords mutuels » réduit à un code triangulaire : la conscience, l’honnêteté, la responsabilité.

17. Il y a longtemps, écrit Neale Donald Walsch, dans son dialogue hors du commun, les êtres hautement évolués ont décidé que c’était ainsi qu’ils choisissaient de vivre ensemble. Ils ont fait ce choix non pas à partir d’une structure morale ou d’une révélation spirituelle qu’un autre être ou groupe à proposée mais plutôt à partir d’une simple observation de ce qui est et de ce qui fonctionne.

18. Dans cette ère du verseau, le partage se place de nouveau comme un don de Dieu dans le cœur de l’homme nouveau et universel. Nous devons tout partager comme dans les anciennes sociétés, dites primitives. Ces gens qui savaient mettre en application ce qu’ils comprenaient. Partager avec tout le monde et que personne ne se prive de quoi que ce soit. Toutes ces ressources naturelles de notre monde, de notre environnement, doivent être divisées à égalité et distribuées à chacun.

On ne juge pas qu’une nation, un groupe ou une culture « possède » une ressource naturelle uniquement parce qu’elle se trouve à occuper le même emplacement physique.

Il est entendu que (la où) les planètes qu’un groupe de l’espèce appelle son « chez soi » appartiennent à tout le monde à toute l’espèce de ce système. En effet, la planète ou le groupe des planètes mêmes, est considéré comme un « système ». Il est perçu comme un système complet et non comme un ensemble de petites parties ou d’éléments qu’on peut éliminer, décimer ou éradiquer sans nuire au système lui-même.

Voir les puritains des Etats-Unis qui nous enseignent que personne n’a le droit d’acheter ni de vendre une portion de terre, car la terre n’appartient à personne mais appartient à Dieu seul et doit être gérée comme un bien commun.

Un bien de Dieu,donc un bien de tous !

En réalité, l’intention spirituelle sous-tend la totalité des structures sociales, politiques, économiques et religieuses de toutes les cultures hautement évoluées. C’est la cosmologie de la vie entière, seul le fait de ne pas observer lettre cosmologie, de ne pas la comprendre et de ne pas vivre en elle engendre toute la discorde de notre expérience sur la terre.

FRANCIS X. B.M. KHONDE Philosophe écrivain contemporain

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