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vendredi 24 février 2012

XIVe sommet de la Francophonie : le baptême et la présentation de l’hymne officiel très attendus

Digital Congo 
24/02/2012

Professeurs et étudiants de l’Institut national des Arts s’affairent à donner une touche particulière à cet hymne du sommet de Kinshasa. 

Les préparatifs du 14ème Sommet qu’accueillera Kinshasa, du 12 au 14 Octobre prochain, vont en tout cas bon train. Cet événement qui représente le plus grand rendez-vous du pays de Mzee Laurent Désiré Kabila avec le monde entier dans ces vingt-cinq dernières années, se veut, à n’en point douter, une réussite par les Congolais, qui du reste seront les plus grands bénéficiaires des retombées diplomatiques, politiques et économiques de ce sommet. Et, c’est avec un intérêt soutenu que l’opinion national suit, avec bonheur d’ailleurs, l’activisme efficace du Comité du pilotage national du Sommet que conduit le Ministre Raymond Tshibanda, qu’assiste le Commissariat général du Sommet que le Professeur Isidore Ndaywel (chapeaute). 



Cela n’est plus un secret de polichinelle que le Sommet de Kinshasa aura entre autres comme particularité un hymne, qui se trouve présentement en pleine confection, sous attention suivie à la loupe de Raymond Tshibanda et ses compagnons. 

L’Institut national des Arts - INA -, dont les sociétaires, entendez gestionnaires, professeurs et étudiants, s’affairent à donner une touche particulière à cet hymne du Sommet de Kinshasa, sont conscients de la mission historique qui a été confiée à leur institution. 

Chaque instant est mis alors à profit par le DG de cet établissement et qui a écrit le texte de l’hymne, ainsi que par la section technique qui moule la mélodie sans oublier les étudiants en charge de l’exécution de l’œuvre, afin de travailler à la perfection de cette œuvre tant attendue. Un travail de cette ampleur, qui ne peut se dérouler que dans la discrétion la plus totale, garde encore tout son mystère quant à ce qu’elle sera effectivement. 

Les Congolais, qui se sentent davantage fiers de voir que la conception, l’exécution et la réalisation de ce travail aient été confiées à leur Institut national des Arts, attendent, plus que tous les peuples du monde, le baptême et la présentation de cet hymne, lequel, sans entrer dans les secrets des dieux, portera les marques particulières de la Culture ainsi que de l’Art congolais. Savez-vous déjà comment ça s’appellera ? Bomba mayele na yo... 
L’Emergence

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