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jeudi 18 avril 2013

Le mouvement terroriste M23 et la Monusco cette fois sur pied de guerre frontale !

Digital Congo 
17/04/2013
On a assisté à trop de camouflage d’affrontements des casques bleus de la Monusco contre les groupes armés dont ils se contentaient d’observer les attaques contre les populations congolaises à l’Est. Cette fois que ces forces onusiennes sont instruites de traquer les fieffés coquins terroristes, ceux-ci s’affolent déjà à l’idée d’être les cibles d’attaques frontales 

Il n’est plus l’ombre d’un seul doute que les dirigeants du M23 sombrent dans l’agitation pour tenter de faire obstacle au déploiement de la Brigade offensive de « Monusco. Après avoir saisi l’Afrique du Sud aux fins de la dissuader d’envoyer ses troupes en République démocratique du Congo, le mouvements pseudo-rebelle vient de faire le même appel au président tanzanien. En dépit de la décision du Conseil de sécurité de l’Onu, la bande à Suttani Makenga se croit encore capable de bousculer la donne en menaçant des pays disposant d’armées autrement plus puissantes que ses résidus de rebelles. 


Au propre comme au figure, les élucubrations des M23 traduisent les derniers soubresauts d’un fauve en voie de rendre le dernier soupir. Aussi s’en prennent-ils pêle-mêle à l’Onu, à l’Afrique du Sud, à la Tanzanie, bref à tous ceux qui forment le maillon de la résorption de la crise à l’Est de la République démocratique du Congo. On se rappelle l’interception récente d’un convoi de la Monusco par ces criminels qui ont finalement lâché du lest au vu de l’arsenal mobilisé par des casques bleus venus libérer le convoi. 

Cette chaude alerte vaut avertissement de la part de la Mission onusienne à l’endroit de ces séides de Kigali qui entreprennent désespérément de noyer la mise sur pied de la brigade internationale. Un corps dont la mission, au-delà de l’anéantissement des forces négatives, est de redorer le blason terni de la Mission onusienne en Rdc. Le président ougandais, Yoweri Kaguta Museveni, ne disait-il pas récemment, sur un ton moqueur, que la Monusco est une honte ? Qu’en resterait-il de l’honneur de l’Onu, si les Casques bleus venaient à quitter le sol congolais sans être parvenu a éteindre le feu dans un pays où ils ont opéré pendant plus de 10 ans? Fort de cette réalité, l’on doit s’attendre à une véritable guerre entre les Casques bleus et le M23. A moins que les élucubrations du mouvement rebelle relèvent du bluff. 

Solution politique ? Au Rwanda 
En appelant à une solution politique, les M23 et parrains pèchent par une lecture bâclée de la situation politique dans le monde. 

Il est un signal fort que de voir les membres du Conseil de sécurité s’inscrire à l’unanimité fait rarissime pour la mise sur pied de la Brigade chargée d’imposer la paix dans les Kivu. Pareille position, on doit s’en convaincre, est le fruit d’un travail de fourmi base sur des données recueillies et analysées pendant plus d’une décennie par des compétences avérées. 

De quelle leçon les exaltés du M23 peuvent ils être capables vis-à-vis des experts des Occidentaux et du système des Nations unies ? L’observation vaut autant pour la ministre rwandaise des Affaires étrangères qui fait encore le plaidoyer de la solution politique pour le dossier congolais. Une vertu que la Rdc expérimente depuis plus de 10 ans sans approcher l’horizon de la paix. 

Toutes les analyses objectives et honnêtes menées récemment concordent quant à la nécessité d’insuffler une solution politique au Rwanda. Il est indéniable, en effet, que ce pays sert de foyer de tous les troubles majeurs qui gangrènent la région des Grands Lacs africains. Aussi, en ce moment où les maîtres du monde ont décidé de l’extinction de ce foyer, l’après écrasement des forces négatives appelle l’instauration d’un régime démocratique à Kigali. 

Autant la Rdc a pris langue avec le Rcd /Goma, le Rcd/Kml, le Mlc, le Cndp... autant Kigali devra favoriser la mutation des Fdlr du statut de mouvement rebelle en parti politique. Cri que ces derniers lancent depuis des lustres, même par le biais de l’organisation catholique Sant Egidio de Rome, sans se faire entendre. Mais y aurait-il meilleure formule dans le cas d’espèce ? 
La République

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