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mercredi 25 mars 2015

Le Botswana abrite la conférence internationale contre le trafic d’espèces protégées

Radio Okapi 
25/03/2015

Buffles et éléphant dans le parc des Virunga,
Nord-Kivu, 2004.
La 2ème Conférence internationale de haut niveau sur le commerce illégal d’espèces de la faune et de la flore se tient mercredi 25 mars à Kazane au Botswana. Plusieurs personnalités du monde séjournent à Kazane pour tenter de trouver un remède à ce trafic d’espèces protégées qui menace non seulement la biodiversité, mais alimente aussi des réseaux criminels internationaux. 

Parmi les personnalités présentes à cette conférence, qui sont sur place à Kazane, il y a notamment le ministre britannique de l’Environnement, les présidents gabonais, tanzaniens et tchadiens et d’autres personnalités venues de plusieurs pays. 

D’après la déclaration du ministre britannique de l’Environnement, ces représentants politiques du monde se réuniront en vue de convenir des mesures urgentes pour combattre le commerce illicite d’espèces de la faune et de la flore.

«Le braconnage et la vente d’espèces sauvages menacées constituent une activité odieuse, et les braconniers ainsi que les trafiquants qui commettent ces épouvantables crimes doivent en être empêchés», estime-t-il. 

Les réseaux criminels organisés qui opèrent à travers l’Afrique, favorisent la corruption, dévastent des communautés, sapent les efforts visant à réduire la pauvreté et menacent l’existence des certaines espèces emblématiques et précieuses de l’humanité. Il y a même des preuves que ce commerce est aussi exploité par des organisations terroristes, a souligné le ministre britannique de l’Environnement. 

Autre fait à relever, le braconnage du rhinocéros est en augmentation, spécialement en Afrique du Sud, et des milliers d’éléphants sont encore en train d’être tués à travers l’Afrique. Chaque année, environ 20 à 30.000 éléphants disparaissent en Afrique. 

Par ailleurs, le commerce illégal des pangolins a explosé ces dernières années, au point qu’ils constituent actuellement le mammifère le plus commercialisé illégalement dans le monde, de toutes les huit espèces considérées comme menacées. 

L’un des objectifs de cette grande conférence est d’évaluer la mise en œuvre des engagements pris par les Etats et organisations internationales lors de la conférence de Londres l’année dernière et contenus dans la «Déclaration de Londres», qui avait sanctionné cette importante rencontre. 

La conférence de Kazane constitue une opportunité pour parler de l’Initiative pour la protection des éléphants d’Afrique qui avait été lancée par les présidents du Gabon, de la Tanzanie, de l’Ethiopie, du Tchad et du Botswana à la conférence de Londres. 

La République démocratique du Congo avait pris part à cette conférence, mais n’avait pas pu signer la Déclaration de Londres étant donné que sa délégation était composée du directeur chargé de la conservation de la nature au sein du ministère de l’Environnement et de deux membres du cabinet du ministre. Ces derniers n’étaient pas qualifiés pour engager l’Etat.

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