************ QUI AURAIT SOUVENIR D'UN MAGASIN MAMPEZA A COQUILHATVILLE ? IL ETAIT TENU PAR UNE FAMILLE PORTUGAISE ! PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be MERCI. ************ QUI AURAIT CONNU DANS LA PROVINCE DE L'EQUATEUR , FIN DES ANNEES 1940 ET JUSQUE 1960, DENIS GOUVRIER, AGRONOME. IL AURAIT TRAVAILLE PRINCIPALEMENT A MONKOTO, BOENDE ET PEUT-ETRE DANS LA REGION DE COQUILHATVILLE. PRENDRE CONTACT AVEC LA WEBMASTER. EMAIL : tvcn156753@tvcablenet.be. MERCI. ************

jeudi 30 juillet 2015

«Beauté Congo» célèbre Papa Mfumu’eto Ier, roi de la BD congolaise

RFI 
30/07/2015 
Par Siegfried Forster



Le dessinateur de bande dessinée
congolais Papa Mfumu'eto Ier dans
l'exposition « Beauté Congo » à la
Fondation Cartier, Paris.
Siegfried Forster / RFI
C’est le maître de la bande dessinée au Congo et pour la première fois, il a promis de montrer sa vraie face. Jaspe Saphir, artiste, peintre et dessinateur bien connu sous le nom de Sa Majesté, Empereur Papa Mfumu’eto 1er, est mis à l’honneur dans le cadre de « Beauté Congo », la plus grande exposition sur l’art congolais moderne et contemporain jamais organisée. À Paris, à la Fondation Cartier, il nous fait découvrir à travers de ses planches, ses vignettes et ses caricatures le monde de la BD congolaise et son univers personnel. 

L’œil espiègle, la taille modeste et avec un nom majestueux, c’est ainsi qu’il se présente à nous: « Je me nomme Jaspe Saphir, bien connu sous le nom de Sa Majesté, Empereur Papa Mfumu’eto Ier ». Au Congo, depuis longtemps, il est une star. À Paris, à la Fondation Cartier, le bédéiste congolais crée tous les jours une planche de BD (« Le visa Schengen est-il plus que le paradis ? », « Prolifération d’églises à Kinshasa », « Il a vu sa femme avec un autre ») et cela jusqu’à novembre, pendant toute la durée de l’exposition à la Fondation Cartier : « Sur la première planche, on voit ‘Halte ! Les rues ne sont pas des poubelles’. On voit comment une dame jette l’eau sale directement dans cette rue déjà jonchée de détritus. Là où je vis, avec tous ces déchets, cette ville est vraiment une poubelle. »

Lire la suite sur RFI

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire