24/07/2015
Par Pierre Le Hir
Le fleuve Congo, à Brazzaville, le 22 juillet. FEDERICO SCOPPA / AFP |
Sur le continent africain, la capacité des forêts et de la végétation à fixer durablement du carbone est fortement érodée par les grands fleuves, qui relâchent dans l’atmosphère de très grandes quantités de gaz à effet de serre. C’est l’inquiétante conclusion d’une étude de chercheurs belges, français et kényans, publiée en ligne dans la revue Nature Geoscience.
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