21/10/2016
par Christophe RIGAUD
En dehors de la Majorité présidentielle, opposition, mouvements citoyens, ONG et communauté internationale donnent peu de crédit à l’accord signé entre la majorité présidentielle et une frange de l’opposition.
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Edem Kodjo, le médiateur du dialogue
© DR
A peine signé, l’accord politique issu du dialogue national est loin de faire l’unanimité. Après six semaines de dialogue national et l’adoption d’un consensus aux forceps, l’accord prévoit le report de la présidentielle fin avril 2018 et le maintien au pouvoir de Joseph Kabila jusqu’à l’élection du nouveau président.
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