24.06.2015
Les établissements de soins guinéens ont accueilli 74 000 cas de paludisme en moins en 2014,
ce qui a conduit à une hausse sensible du taux de mortalité du paludisme.
Baz Ratner/Reuters
L’épidémie d’Ebola a conduit à une explosion des cas de paludisme non traités en Guinée, et donc à une hausse sensible du taux de mortalité dû à la maladie, selon une étude publiée mercredi 24 juin dans la revue The Lancet Infectious Diseases.
Le rapport précise que les établissements de soins guinéens ont accueilli 74 000 patients atteints de paludisme en moins en 2014 par rapport aux années précédentes. Le docteur Mateusz Plucinski, des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) d’Atlanta, qui a coordonné l’étude, a fait savoir à l’Agence France-Presse (AFP) que les morts supplémentaires dues au paludisme étaient « vraisemblablement beaucoup plus importantes que celles provoquées par le virus Ebola ».
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