28/02/2016
Des policiers anti-émeutes formés par
la coopération de l’Union européenne.
Ph. radio Okapi
"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs", a pu dire Maximilien de Robespierre.
Dix années après la promulgation de la Constitution en vigueur dite de la "Troisième République", le Congo-Kinshasa présente le visage d’un Etat qui fait un retour à la vitesse "grand V" vers la case départ. Un retour vers l’ordre ancien. Un ordre fondé non seulement sur l’autoritarisme et l’arbitraire mais aussi sur l’unanimisme, les violations des droits et libertés et la corruption.
Et pourtant. Cette Charte fondamentale, promulguée le 18 février 2006, était censée conduire le peuple congolais sur le chemin du renouveau. C’est-à-dire le chemin de la démocratie, de l’Etat de droit et du respect de la vie et de la dignité de la personne humaine.
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