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mercredi 5 octobre 2011

La RDC et ses atouts forestiers incontournables pour contribuer à l’arrêt du réchauffement climatique de la planète !

Digital Congo
04/10/2011

Plus que jamais la RDC dont les forêts s’avèrent d’importance capitale dans l’arrêt du réchauffement climatique qui préoccupe de plus en plus la planète terre est en droit de revendiquer de la part des autres Etats une considération plus attentionnée pour son incontournable apport en l’aidant comme elle le mérite dans la sauvegarde de ses précieux écosystèmes

La République Démocratique du Congo de part son étendue de la forêt évaluée à 1.700.000 km2, de son étendue des terres arables non exploitées, est ciblée par la communauté internationale pour contribuer à l’arrêt du réchauffement climatique à travers le monde, a révélé César Lubamba Ngimbi, ministre de l’Urbanisme et Habitat à la célébration lundi de la Journée mondiale de l’habitat.

Pour cette journée placée cette année sous le thème « Les villes et changement climatique » et le sous thème local « Prévenir nos villes de catastrophes » le ministre Lubamba a indiqué que le thème retenu doit rappeler les gouvernants et gouvernés du monde quant à leur responsabilité indéniable des nations afin de prévenir au bien être social des établissements humains.

Le réchauffement climatique, a-t-il dit pèse sur les villes et est consécutif aux activités quotidiennes de l’homme notamment la combustion des hydrocarbures et de brûlis solide dont le bois et les huiles, à l’extraction du charbon et du pétrole à grande échelle, à la destruction de la nature ainsi que les émissions de gaz à effet de serre. Le vice Premier ministre et ministre des Postes et des nouvelles technologies de communication Alphonse Koyagialo qui a présidé la cérémonie a indiqué que le thème choisi, constitue une interpellation des gouvernants et des gouvernés en vue de susciter un éveil patriotique pour une prise de conscience collective et surtout une responsabilité politique, face au changement climatique qui menace les équilibres mondiaux ainsi que la survie de l’humanité toute entière. A cet effet, il a réaffirmé la détermination du ministère de l’Urbanisme et Habitat à relever le défi en prenant des dispositions adéquates en matière d’aménagement des espaces à «édificandi » dans les villes de la R.D.Congo.

La population urbaine congolaise pourrait atteindre 30 millions en 2015

De son côté, le professeur Corneille Kanene, chargé de programme pays à l’ONU/Habitat en RDC, a relevé que la population urbaine de la R.D.Congo qui était de 16,7 millions d’habitants en 2000, atteindra le chiffre de 30 millions en 2015 soit 37,5% de la population totale estimée à 80 millions d’habitants répartis dans 8 millions de ménages dont 80% habiteront les quartiers précaires et dans une misère extrême. Cependant les impacts du dérèglement climatique sont et seront particulièrement graves pour les habitants des quartiers précaires et des zones de pauvreté urbaine. Pour palier à ces dérèglements, le professeur Kanene préconise l’urbanisation durable du fait qu’il offre de nombreuses possibilités de développer des stratégies d’atténuation et d’adaptation pour faire face aux changements climatique.

Les rapports entre les autorités urbaines et les habitants sont aussi une condition de base pour une meilleure prévention des risques de catastrophes urbaines, a indiqué Corneille Kanene. Dans cette même perspective, il a également souligné la nécessité d’une planification et budgétisation participative des actions à entreprendre par les autorités urbaines et municipales, les citoyens, le secteur privé qui devrait permettre de rendre les villes plus résilientes face aux catastrophes.

C’est dans ce cadre qu’il a relevé l’existence depuis 2008 d’un programme participatif d’amélioration et prévention des bidonvilles dans les 30 pays dont la RDC, initié par l’ONU/HABITAT en partenariat avec le secrétariat des pays ACP et la commission européenne.

Ce programme constitue une stratégie et un outil pour de villes sans bidonvilles, a dit le professeur Kanene

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